Titre | Le pouvoir de l'histoire dans une histoire sur le pouvoir : Borislav Pekic : L'homme qui mangeait la mort = The Power of the Story in a Story About Power: The Man Who Ate Death | |
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Auteur | Srebro M., Cappon A. (Trad.) | |
Revue | Revue des Etudes Slaves | |
Numéro | Vol. 85, no 1, 2014 | |
Page | 95-108 | |
Résumé |
En relatant l'histoire singulière de J.-L. Popier, Borislav Pekić, dans sa nouvelle L'homme qui mangeait la mort, développe une métaphore à propos de “la genèse du pouvoir à la Caligula”, pouvoir absolu et abusif auquel il oppose le pouvoir individuel, celui qui émane du libre arbitre. Ces deux aspects antagonistes du Pouvoir sont au centre de l'analyse proposée dans cet article, comme l'est également l'art du récit chez Pekić, un art poussé à la perfection, que le lecteur perçoit comme une sorte de pouvoir de la narration. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
While narrating J.-L. Popier's peculiar story, Borislav Pekić, in his short story The Man Who Ate Death, develops a metaphor about the ‘genesis of Caligulan power', an absolute and abusive power to which he opposes individual power – that which emanates from free will. These two antagonistic aspects of the power phenomenon are at the core of the analysis proposed in this article, as well as Pekić's art of storytelling – an art mastered to perfection which the reader perceives as a sort of power of the narrative itself. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://journals.openedition.org/res/604 |