| Titre | Le rôle de la capacité de dissémination dans le partage des connaissances : ce qui différencie la PME de la grande entreprise | |
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| Auteur | Jean-Pierre Noblet, Eric Simon | |
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Revue | Gestion 2000 |
| Numéro | Volume 31, 2014/5 | |
| Page | 87-108 | |
| Résumé |
En choisissant une perspective de type relationnel, les chercheurs estiment que la capacité d'une organisation à disséminer la connaissance est étroitement liée à sa capacité à développer et activer des réseaux de partage et de collaboration autour de problématiques de changement. En privilégiant l'approche de Büchel et Raub (2002), l'accent est porté sur l'articulation de trois des composantes des réseaux de partage et de dissémination des connaissances, à savoir, les enjeux et intérêts communs, les mécanismes de partage entre acteurs et les relations de confiance et de réciprocité ; mais Büchel et Raub ont élaboré ce modèle de dissémination des connaissances uniquement en contexte d'organisations de grande taille. Allons-nous retrouver les mêmes composantes du réseau de partage, et dans la même combinaison, si nous confrontons le modèle à l'épreuve des PME ? Les chercheurs montrent, que non seulement l'approche relationnelle est totalement adaptée à la PME du fait même du caractère organique de cette dernière, mais qu'elle propose une alternative crédible au modèle de Büchel et Raub, en considérant une distribution différente des composantes initiales. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
The role of dissemination ability in the knowledge sharing: which model for the SMEs By choosing a relational viewpoint, the authors find that an organization's ability to disseminate knowledge is closely linked to its ability to develop and activate networks for sharing and collaboration in addressing issues of change. By favoring the approach of Büchel and Raub (2002), emphasis is placed on the linkages between three of the components of networks for sharing and disseminating knowledge, namely issues, mechanisms, and relationships, but in the context of large-scale organizations. Can this model be applied to SMEs? Will we find the same components, combined in the same way? The authors show that not only the relational approach excellently fits for an SME, precisely because of the SME's organic nature, but that it offers a credible alternative to Büchel and Raub's model by suggesting a different distribution of the initial components. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=G2000_315_0087 |
