| Titre | Les logiques contradictoires de la gestion sociale de la maladie (1850-1940) | |
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| Auteur | Olivier Faure | |
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Revue | Sciences Sociales et Santé |
| Numéro | vol. 8, no 1, mars 1990 | |
| Page | 5-13 | |
| Résumé |
Résumé. Jusqu'en 1940, au moins, la prise en charge de la maladie dépend d'une multitude d'institutions (mutualistes, charitables, départementales) très jalouses de leur indépendance. Les efforts d'harmonisation ne mettent pas en cause cette structure tout en développant des structures bureaucratiques. Que les fonds viennent de la charité, de l'Etat ou des assurés, la gestion essaie toujours de limiter les dépenses et préfère développer l'hygiène et la prévention plutôt que les soins curatifs. Seuls les médecins, puissants et bien organisés, échappent à cette recherche éperdue de l'économie et orientent le système vers une logique commerciale. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
Olivier Faure: Contradictory logics of illness management (1850-1950) Until 1940, at least, social care is provided by many different institutions (charity-societies, friendly societies, local administrations), all very proud of their independance. Trends toward national regulation cannot change this fact and add new federal structures so that the System become a very bureaucratie one. All institutions try to limit expenditures and prefer hygiene and prevention to curative care (especially drugs). Physicians and pharmacists are not concerned by this search for economy and pushed the whole system in a consuming direction. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | http://www.persee.fr/doc/sosan_0294-0337_1990_num_8_1_1149 |
