Titre | « Nonae Caprotinae » : La fausse capture des Aurores | |
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Auteur | Paul Drossart | |
Revue | Revue de l'histoire des religions | |
Numéro | tome 185, n°2, 1974 | |
Page | 129-139 | |
Résumé |
La fête des "Nonae Caprotinae", qui se célébrait dans le calendrier lunaire au premier quartier suivant le solstice d'été (7 juillet), au début donc de la saison de dominance des nuits, appelle, dans ses rites et dans une de ses légendes étiologiques, une interprétation lunaire (notamment la torche brandie par une esclave montée sur un figuier, avec un écran qui en voile la lumière d'un côté). Elle est ainsi une continuation inversée des rites qui, en juin, à l'approche du solstice, ont prétendu fortifier, encourager les Aurores menacées ou fatiguées ("Matralia" du 11 juin, etc. ; rapports inverses des matrones et des femmes esclaves dans les deux rituels ; rapports inverses — positifs, négatifs — de "Mater Matuta", l'Aurore, et des "Nonae Caprotinae" avec Camille). Source : Éditeur (via Persée) |
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Article en ligne | http://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1974_num_185_2_10134 |