Titre | Logiques et représentations de la reconnaissance dans les organisations | |
---|---|---|
Auteur | Denis Malherbe, Jean-Yves Saulquin | |
Revue |
Vie et sciences de l’entreprise Titre à cette date : Vie & sciences économiques |
|
Numéro | no 168 - 169, 2005/3 Stratégie et management | |
Rubrique / Thématique | Études |
|
Page | 37-53 | |
Résumé |
Dans une première partie, cet article présente la reconnaissance comme une opportunité managériale pour réconcilier les finalités économiques et sociales de l'organisation. Toutefois, les managers peuvent difficilement espérer satisfaire les ambitions économiques et sociales de l'entreprise tant qu'il y a mal-être au travail par déficit de reconnaissance réciproque entre les salariés et eux-mêmes.Dans une seconde partie, les auteurs dénoncent les limites politiques et cognitives du concept de reconnaissance tel qu'il est couramment envisagé dans une perspective psychosociologique. Les différents partenaires ne donnent pas le même sens à ce mot, et ces écarts de représentations alimentent alors autant qu'ils expriment le jeu de logiques divergentes propres aux différents acteurs, comme le suggèrent notamment les apports de la sociologie des organisations et ceux de la théorie socio-économique des conventions. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Résumé anglais |
The first part of this article sets out to denounce the political and cognitive limits to the concept of recognition as it is commonly contemplated in a psycho-sociological perspective. Different partners do not give the same meaning to this word, and the set of divergent logics specific to each actor is consequently fuelled as much as it is expressed by these representation differences, as indeed studies on organizational sociology and the socio-economic theory of labor agreements would tend to suggest.In the second part, recognition is presented as a managerial opportunity to reconcile the organization's economic and social aims. It is however difficult for managers to hope to satisfy the firm's economic and social ambitions as long as a feeling of ill-being prevails in the workplace through a lack of mutual recognition between employees and themselves. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=VSE_168_0037 |