Titre | L'alcabala des esclaves de Séville : Notes et données pour une étude dans la seconde moitié du xvie siècle | |
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Auteur | Rafael M. Perez Garcia, Manuel F. Fernandez Chaves | |
Revue | Rives méditerranéennes | |
Numéro | no 53, 2016/2 L'économie de l'esclavage en Méditerranée médiévale et moderne | |
Rubrique / Thématique | Investissement, profit et fiscalité publique autour du commerce des esclaves |
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Page | 83-102 | |
Résumé |
Les auteurs étudient ici l'alcabala, l'impôt qui frappait les ventes d'esclaves à Séville entre les xve et xvie siècles et qui était connu sous le nom d'alcabala de moros y tártaros. En théorie, cet impôt représentait 10 % de la valeur d'achat, mais il dépassait rarement 8 % ad valorem. Les taux variaient selon les objectifs, la volonté des percepteurs, la conjoncture du marché, l'identité des vendeurs et des acheteurs, etc. Notre étude s'attache plus particulièrement à onze années comprises entre 1571 et 1598, à partir des sources de l'Archivo General de Simancas et de l'Archivo Histórico Provincial de Sevilla. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
In this paper the authors study the alcabala tax over the buy and selling of slaves in thecity of Seville between the 15th and 16th centuries, called until the mid-16th century “alcabala de moros y tártaros”. In theory, the tax was fixed in a 10% of the final value of the purchases, but it didn't use to overcome an 8% ad valorem, and this percentage depended on the aims and will of the taxmen, as it was strongly related to the selling conditions and to the identity of buyers and sellers, as well as to the market situation. Eleven years between 1571 and 1598 are here specially studied, crossing the sources from the Archivo General de Simancas and the Archivo Histórico Provincial de Sevilla. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | https://journals.openedition.org/rives/5149 |