| Titre | Contrefaçon et terrorisme : comprendre les mécanismes | |
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| Auteur | Carole Gomez | |
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Revue | La revue internationale et stratégique |
| Numéro | no 107, automne 2017 Transports et infrastructures | |
| Rubrique / Thématique | Éclairages |
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| Page | 32-40 | |
| Résumé |
Moins exposée médiatiquement que le trafic de stupéfiants ou la traite d'êtres humains, la contrefaçon demeure pourtant un pilier de la criminalité organisée, certaines études la plaçant même au premier rang en termes de revenus générés. Depuis une dizaine d'années, plusieurs rapports mettent en évidence le financement de groupes terroristes par ce procédé. L'ETA, l'IRA, Al-Qaïda ou encore l'État islamique n'ont ainsi pas hésité à utiliser cette activité simple, rapide, et surtout très lucrative et moins risquée que les autres trafics. Si la lutte passe évidemment par la mise en œuvre d'outils coercitifs et d'harmonisation plus efficaces, la prévention et l'information des consommateurs demeurent un enjeu de premier plan. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
Counterfeiting remains a key area of organized crime, even if it is less exposed than drug or human trafficking. Some studies even consider it as the most important sector. Over the past decade, several reports have highlighted the funding of terrorist groups through this process. ETA, IRA, Al-Qaeda or the Islamic state found with this activity a simple, fast, more lucrative and less risky way to make money than other traffics. Even if the fight against counterfeiting has to go through implementation of more efficient measures of coercition and standardisation, prevention and information of consumers have to be a key stake. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=RIS_107_0032 |
