Titre | El rol del fotoperiodismo en la construcción de la democracia en Argentina (1983-2002) | |
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Auteur | Cora Gamarnik | |
Revue | L'Ordinaire des Amériques | |
Numéro | no 219, 2015 Fotografía, cultura y sociedad en América Latina en el siglo XX. Nuevas perspectivas | |
Rubrique / Thématique | III El fotoperiodismo en la segunda mitad del siglo XX |
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Résumé |
Cet article se propose d'analyser quelques-unes des contributions du photojournalisme à la construction de la démocratie en Argentine entre 1983 et 2002. Pour ce faire, sont ici étudiés différents moments historiques pendant lesquels quelques photographes furent des protagonistes, dénoncèrent des injustices, contribuèrent de façon décisive à rendre visibles les événements et apportèrent des preuves qui furent ensuite incorporées aux dossiers judiciaires. Cette étude transversale de la période met en valeur les cas les plus célèbres, lorsque les photographes parvinrent à transgresser les limites que les medias et/ou le gouvernement leur imposaient ; lorsqu'ils formèrent un collectif de mobilisation qui alla au-delà de ses objectifs professionnels ; lorsqu'ils gagnèrent leur indépendance ou surent influer sur les publications pour lesquelles ils travaillaient, de façon à modifier leur ligne éditoriale ou à l'approfondir. Ce dont il est ici question ne correspond pas à la règle du photojournalisme argentin mais à son exception. Nous avons voulu savoir quand s'étaient produites ces exceptions, en quelles circonstances, quels acteurs les rendirent possibles, quels changements elles produisirent, quels résultats elles obtinrent. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
This article analyzes some of the contributions made by photojournalism to building democracy in Argentina between 1983 and 2002. It will describe different historical moments in which photographers participated, reported crimes, were the main reason why some events were visualized, and obtained evidence that were used by the courts. The perspective proposed in this text is admittedly subjective. It deals with the resounding cases where photographers managed to avoid the limits that the media and/or governments imposed on them; where they established a collective sense of activism that exceeded their professional work; where they became independent; or where they strengthened the media they were working for to alter or deepen their agenda. The facts described here are not the general rules of photojournalism in Argentina, only exceptions. The goal is to understand when these exceptions occurred and under which circumstances, as well as to identify the social actors that drove them, the changes they generated and the achievements they led to. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://orda.revues.org/2179 |