Titre | Y a-t-il en glossématique une théorie de l'énonciation ? | |
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Auteur | Michel Arrivé | |
Revue | Histoire, Epistémologie, Langage | |
Numéro | vol.8, n°2, 1986 Histoire des conceptions de l'énonciation | |
Rubrique / Thématique | Histoire des conceptions de l'énonciation. Simone Delesalle [Dir.] L'énonciation dénommée |
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Page | 177-189 | |
Résumé |
La question posée est paradoxale : l'opinion admise par les linguistes est que la glossématique - forme extrême du structuralisme - ne laisse aucune place à une prise en compte de renonciation. Il est en effet exact que les problèmes de l'« énonciation énoncée » sont peu envisagés. Cependant, la nécessité d'un parcours entre le schéma et l'acte amène à poser - sans le nommer - le concept dénonciation. D'autre part, la langue elle-même est souvent présentée comme fonctionnant à l'égard du langage sur le même modèle que là parole à l'égard de la langue. Source : Éditeur (via Persée) |
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Résumé anglais |
The question asked in this article is paradoxical : linguists generally admit that glossematics - a radical form of structuralism - leaves no room for an account of enunciation. It is true in fact that the problems of the "enounced enunciation" are hardly considered. However, the necessity of a link between "schema" and "act" leads to use - without naming it - the concept of enunciation. Moreover, a language itself is often shown as functioning relatively to language in the same way that speech functions relatively to languages Source : Éditeur (via Persée) |
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Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/hel_0750-8069_1986_num_8_2_2231 |