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Titre The study of foreign languages in 17th-century England
Auteur Vivian Salmon
Mir@bel Revue Histoire, Epistémologie, Langage
Numéro vol.7, n°2, 1985 La réflexion linguistique en Grande-Bretagne — 17e-18e siècles
Rubrique / Thématique
La réflexion linguistique en Grande-Bretagne — 17e-18e siècles. Patrice Bergheaud [Dir.]
 Études
Page 45-70
Résumé Au dix-septième siècle, · on observe un accroissement du nombre de langues connues des savants anglais, tant dans la famille indo-européenne (l'irlandais et le russe, par exemple) que dans d'autres groupes (le turc et l'arabe). Cette étude se propose d'examiner les raisons de l'intérêt croissant pour ces langues; qui les étudiait et où; les différentes approches de la méthodologie de l'enseignement des langues et les relations de ces langues à l'anglais. n'est possible que la connaissance de langues orientales et africaines, comme le chinois, le malais, l'arabe, et des langues de l'Afrique méridionale, ainsi que la publication de grammaires et de dictionnaires du Natick, de l'Irlandais, du Russe et du Turc soit directement par des savants anglais, soit sous leur égide, ait contribué à la fonnation. de la conscience linguistique plus aigüe perceptible vers la fin du siècle. On ne fera que parcourir ce domaine, restreint ici en presque totalité à l'Angleterre, en espérant ainsi suggérer des directions pour des recherches futures.
Source : Éditeur (via Persée)
Résumé anglais The seventeenth century saw a widening of the range of languages with which English scholars were acquainted, both from the Indo-European family, like Irish and Russian, and from other language groups, such as Turkish and Arabic. The purpose of this study is to examine the reasons for the growth of interest in these languages; where and by whom they were studied; the different approaches to the methodology of language-teaching; and the relationships of these lan~ ages to English. It is possIble that -knowledge of Oriental and African languages such as Chinese, Malayan, Arabic, and the languages of So. uthern Africa, and the publication of grammars and dictionaries of Natick, Insh, Russian and Turkish either by, or under the aegis of, English scholars, may have assisted towards the greater linguistic awareness shown by the end of the century. This can be ne more than a survey of the field, restricted almost entirely to English scholarship, but it is hoped that it will point the way to further directions for research.
Source : Éditeur (via Persée)
Article en ligne https://www.persee.fr/doc/hel_0750-8069_1985_num_7_2_1314