| Titre | La Renaissance africaine, des idées à la pierre : L'infrastructure de Cheikh Anta Diop, la culture de Léopold Sédar Senghor et la sculpture d'Abdoulaye Wade | |
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| Auteur | Martin Mourre | |
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Revue | Cahiers d'études africaines |
| Numéro | no 227, 2017/3 Renouveau monumental | |
| Rubrique / Thématique | notes et documents |
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| Page | 719-750 | |
| Résumé |
Le monument de la Renaissance africaine inauguré en avril 2010 a suscité de nombreux commentaires dans l'espace public comme en sciences sociales. Cet article s'interroge autant sur les ensembles statutaires dans l'epace public dakarois que sur l'idée même de « renaissance » en historicisant ce concept à partir d'une relecture de textes de Léopold Sédar Senghor et de Cheikh Anta Diop, il s'agit d'en montrer les évolutions radicales que ce terme a subi lorsqu'il était utilisé par Abdoulaye Wade à la fin des années 2000. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
The Monument of the African Renaissance inaugurated in April 2010 has aroused a great deal of commentary in the public space as well as in the social sciences. This article examines both the statuary in Dakar's public space and the very idea of “renaissance” or “rebirth” by historicizing this concept. With a re-reading of texts by Léopold Sedar Senghor and Cheikh Anta Diop, we wish to show the fundamental shifts this term underwent when it was used by Abdoulaye Wade at the end of the 2000s. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=CEA_227_0719 |
