Titre | La cavalerie francaise à la lumière de la campagne de mai-juin 1940 : compromis et rigidité | |
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Auteur | François Cochet | |
Revue | Guerres mondiales et conflits contemporains | |
Numéro | no 225, 2007/1 La cavalerie au XXe siècle | |
Page | 47-61 | |
Résumé |
La cavalerie francaise à la lumière de la campagne de mai-juin 1940 : compromis et rigiditéAu cours de l'entre-deux-guerres, la cavalerie française tente de s'adapter entre le possible et le souhaitable. Les adaptations qui ont lieu, tant en termes de matériels que d'organisation, sont le résultat de représentations mentales issues de la Grande Guerre. Les programmes de modernisation se succèdent, notamment entre 1920 et 1927, toujours incomplets et laissant (sous la pression de certains cavaliers eux-mêmes) subsister des unités montées et des unités mécanisées. À la veille de la guerre, les matériels sont bons, voire excellents, les personnels qualifiés et généralement bien commandés. Durant les six semaines de combat de mai et juin 1940, la cavalerie est soumise à rude épreuve. Après quelques combats de reconnaissance, elle est surtout éprouvée par des combats de retardement, voire de sacrifice. Une certaine lenteur de réaction, des transmissions déficientes, et surtout une chaîne de commandement beaucoup trop rigide lui valent des pertes en hommes et en matériels considérables. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
La cavalerie francaise à la lumière de la campagne de mai-juin 1940 : compromis et rigiditéIn the interwar period, and in the light of the First World War, the French Cavalry sets out to modernize its own structures. Several programs are launched, notably between 1920 and 1927, but none of them dares a complete restructuring of the cavalry, partly because of the particular mind-set of cavalry officers. A medley between motor and horse still exists at the outset of the Second World War. At the same time, the troops are well provisioned and well commanded. In the course of six weeks in May-June 1940, the French cavalry is sorely tested. Within a very short period of Blitzkrieg combat, it is fighting to survive. The French cavalry is generally too slow to move, but the main reason for its failure is the fact that its high command is too rigid. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=GMCC_225_0047 |