Titre | De-colonized Collecting: The Australian Museum in the Lower Sepik (1988) | |
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Auteur | David Lipset | |
Revue | Journal de la Société des Océanistes | |
Numéro | no 146, 2018 Le Sepik : société et production matérielle | |
Rubrique / Thématique | Dossier Le Sepik : société et production matérielle |
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Page | 129-141 | |
Résumé |
Les pratiques de conservation et de collecte, au temps des musées post coloniaux, ont-elles « versées dans l'innocence » ? Ou peuvent-elles être vues comme des gestes crédibles et authentiques contribuant à une redéfinition des relations morales entre les peuples et les cultures indigènes qui sont à l'origine de ces collections ? Cet article analyse un cas de collecte de musée ainsi que les pratiques de recherche « décolonisée » et réfléchit à ces questions. Il prend pour exemple le Projet de Documentation Sepik initié par l'Australian Museum de Sydney en 1988. Je veux démontrer que ce projet a su mettre en place un mode de collecte décolonisé qui met l'accent sur la prise en compte d'une approche inclusive et reconnait la légitimité des réseaux d'échanges et de savoir traditionnels. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Ought de-colonized museum research, collecting and curatorial practices be dismissed as “moves to innocence”? Or, can they be seen as credible and authentic gestures toward a redefinition of moral relations with indigenous peoples and cultures from whom ethnographic collections were originally made? This article analyzes a case study of “de-colonized” museum collecting and research practices by way of thinking about this issue. It focuses on the Australian Museum's “Sepik Documentation Project” (1988). I argue that this project enacted a de-colonized mode of collection that emphasized status inclusivity and acknowledged the legitimacy of indigenous trade relationships and knowledge. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=JSO_146_0129 |