| Titre | De l'anthropologie appliquée à l'anthropologue impliqué | |
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| Auteur | Mike Singleton | |
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Revue | Recherches Sociologiques et Anthropologiques |
| Numéro | vol. 39, no 2, 2008 | |
| Résumé |
Se sentant piégés par la dichotomie classique (et donc ethnocentrique) séparant théorie et pratique, des anthropologues contemporains se sont précipités en aval en cherchant à la fois à personnaliser leur discipline (« pas d'anthropologie sans autobiographie ») et à la rendre plus pertinente à notre avenir commun (d'où une anthropologie appliquée). Mais en un amont onto-épistémologique, là où se retrouvent certains philosophes modernes avec leurs idées relatives au réel comme relationnel (Marion), à la rencontre et à la reconnaissance (Ricoeur) ou au moi altéré (Levinas), il se peut que l'anthropologue, qu'il le veuille ou non, soit impliqué d'emblée et d'office. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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| Résumé anglais |
Feeling trapped by the classical and consequently ethnocentric dichotomy between theory and practice, contemporary anthropologists have hurried downstream seeking at once to personalize their discipline (“no anthropology without autobiography”) and render it more relevant to our common future (hence an “applied anthropology”). But upstream, onto-epistemologically, there where several modern philosophers find themselves with such notions as the real being relational (Marion), encounter and recognition (Ricoeur) or the self as replying to the Other (Levinas), it could be that whether he or she wills it or not, an anthropologist is implicated from the outset. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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| Article en ligne | http://journals.openedition.org/rsa/350 |
