Titre | Contextualizing Adam Hall's Fiction: Liminality, Nihilism, and Pathogenic History in The Quiller Memorandum | |
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Auteur | Robert L. Snyder | |
Revue | Etudes anglaises | |
Numéro | Vol. 70, no 4, octobre-décembre 2017 | |
Page | 494-504 | |
Résumé |
Bien qu'ayant fait l'objet de peu d'études universitaires, le roman d'Adam Hall The Quiller Memorandum (1965), premier opus d'une série de dix-neuf romans d'espionnage que l'on peut aussi considérer comme des thrillers, explore avec précision les craintes liées à la résurgence du nazisme après-guerre. Prenant pour thème la capture de son protagoniste par un « Bureau » clandestin et jouant sur des tropes évoquant des espaces interstitiels et des infections pathogènes, le récit de Hall explore la dynamique de l'État de sécurité nationale moderne et de ses ordres du jour secrets. De manière plus indirecte, ce roman décrit le dilemme d'une Allemagne d'après-guerre perçue comme un No Man's Land en proie au désarroi spirituel, représentation anticipée par l'œuvre du sociologue Alfred Weber, Farewell to European History: or, The Conquest of Nihilism (1948). Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Despite its neglect by scholars, Adam Hall's The Quiller Memorandum (1965), the first in a nineteen-novel series of espionage thrillers, delves insightfully into fears about Nazism's post-war resurgence. Framing his protagonist's entrapment by a clandestine “Bureau” with tropes of liminal interspaces and pathogenic infection, Hall's narrative explores the dynamics of the modern National Security State and its covert agendas. More obliquely Hall's novel projects the dilemma of post-war Germany as a spiritually desolate No Man's Land, a depiction anticipated by sociologist Alfred Weber's Farewell to European History: or, The Conquest of Nihilism (1948). Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=ETAN_704_0494 |