| Titre | Fin de siècle, fin des sciences. | |
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| Auteur | Simon Schaffer. | |
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Revue | Réseaux (communication - technologie - société) |
| Numéro | vol 18, no 100, avril-mai 2000 Communiquer à l'ére des réseaux. | |
| Rubrique / Thématique | Communiquer à l'ére des réseaux. Essais. Fin de siècle. |
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| Résumé |
II est étonnant de constater qu'à chaque fin de siècle est tenu un discours sur la fin du rôle des sciences naturelles ou tout au moins de la physique. L'auteur relie l'état de la physique théorique et les moments où sa mort fut annoncée. Il suggère que l'on peut définir ainsi le type d'intelligence qui devrait accompagner la physique. Parler de sa fin relève de l'invention de la tradition, c'est à dire d'un aspect de la mémoire d'une discipline qui participe à la définition et à la solidification de dispositions sociales contingentes au sein de la physique. Cette définition de l'intelligence est davantage compréhensible si l'on s'attache aux relations qui existent entre la figure héroïque du scientifique et les réseaux dans lesquels il exerce son métier. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
There is an intriguing correlation between the turn of each century and discourse on the completion of the task of the natural sciences, or at least of physics. The author relates the state of theoretical physics to times when its end was forecast. He suggests that the kind of intelligence which ought best to pursue physical science can thus be defined. Talk of the end of physical science is part of the invention of tradition, that is, an aspect of the memory of a discipline which helps define and solidify contingent social arrangements within physics. This definition of intelligence is best understood by studying relations between the heroic figure of the scientist and the networks in which that figure plies its trade. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/reso_0751-7971_2000_num_18_100_2220 |
