Titre | Causes et hasards (Dilemmes du nouvel antagonisme social) | |
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Auteur | Collectif Situaciones | |
Revue | Multitudes | |
Numéro | no 14, automne 2003 Europe constituante ? | |
Page | 135-143 | |
Résumé |
La longue année et demie passée entre les journées insurrectionnelles de décembre 2001 et les élections présidentielles d'avril-mai 2003 en Argentine imposent une lecture « à chaud » de l'actualité du « nouvel antagonisme social ». Rupture, destitution et visibilité en ont été les traits fondamentaux. Malgré les interprétations qui voient dans les résultats des élections une confirmation de la « neutralisation » et du « reflux » de la puissance du « qu'ils partent tous, qu'il n'en reste plus un seul », la phénoménologie du contre-pouvoir en Argentine montre, au contraire, que la multiplicité des situations peut résister sans être organisée depuis l'extérieur. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Abstract
The long year-and-a-half span which goes from the insurrectional days of December 2001 to the presidential elections of April - May 2003 in Argentina requires a « spur of the moment » reading of the current condition of the « new social leadership » .Rupture, dismissal and visibility have been the typical features of its emergence. Although some interpretations of the election's results consider that these might prove the « neutralization » and the « ebbing » of the mouvement's power and its motto « Let them all go away, let not even a single one stay» , the phenomenology of counter-power in Argentina shows, on the contrary, that the multiplicity of situations can resist without any need for external organisation. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=MULT_014_0135 |