Titre | Tracer là ce qui nous échappe | |
---|---|---|
Auteur | Doina Petrescu | |
Revue | Multitudes | |
Numéro | no 24, printemps 2006 Un deuxième âge de l'écologie politique | |
Rubrique / Thématique | Mineure : Fernand Deligny |
|
Page | 193-201 | |
Résumé |
La contribution de Deligny à la pensée contemporaine du commun est de cartographier le topos (impossible) d'une communauté qui peut difficilement être décrite par des mots (comme beaucoup de penseurs contemporains en ont eu l'intuition) mais doit être tracée par des lignes. L'usage des lignes par Deligny diffère de toute autre forme de cartographie précisément parce qu'elles ne représentent rien que notre propre ignorance de ce qui est cartographié. Plus que de pensée négative, il s'agit d'une forme de cartographie négative de ce qui est commun entre les membres d'une « communauté impossible ». Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Résumé anglais |
Deligny's contribution to the contemporary thinking of community is to map the (impossible) topos of a community which can be hardly described by words (as many contemporary thinkers have witnessed) but can be traced by lines. Deligny's use of lines differ from any other form of mapping exactly because they do not pretend to represent anything other than our own ignorance about what is mapped. Rather than a negative thinking, it is an active form of negative mapping of what is common within the members of an « impossible community ». Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=MULT_024_0193 |