Titre | Red Light district et porno durable ! : Le rouge et le vert du féminisme pro-sexe : un autre porno est possible | |
---|---|---|
Auteur | Marie-Hélène Bourcier | |
Revue | Multitudes | |
Numéro | no 42, automne 2010 Gouines rouges, viragos vertes | |
Rubrique / Thématique | Majeure : Gouines rouges, viragos vertes |
|
Page | 82-93 | |
Résumé |
Dans cet article Marie-Hélène Bourcier s'attache à décrire le potentiel du « porno vert » émergent qui constitue l'un des prolongements du féminisme pro-sexe avec les premières mobilisations des sex workers dans les années 70 et les subcultures SM dans les années 80. De symbole, voire de fabrique absolue de « l'exploitation de la femme » dans les années 80, l'industrie du sexe aurait-elle généré des espaces micropolitiques qui permettent entre autres de réarticuler un matérialisme enfin indécent ? En quoi les gouines rouges y sont pour quelque chose ? Et de quelles micropolitiques parle-t-on en terre républicaine ? Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Résumé anglais |
In this paper, Marie-Hélène Bourcier addresses the potential of one of the recent outcomes of sex positive feminism which started in the 70' with the sex workers's movement and lesbian S/M subcultures in the 80' namely “green porn”. During the sex wars, porn was not only the symbol but it also caused women's oppression. Today it seems that sex industry and mainstream porn produce micropolitical spaces and open onto a different kind of materialistic assemblage. Did “red dykes” played a part in this process? Under which conditions can such micropolitics (sex)works in a republicanist political landscape? Source : Éditeur (via Cairn.info) |