| Titre | Approches et gestion participatives, affichage et réalités. Réflexions autour des espaces protégés du Canada, d'Australie et de Nouvelle-Zélande (Participative approaches and management, publicizing and realities. Reflexions about protected spaces in Canada, Australia and New Zealand) | |
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| Auteur | Stéphane Héritier | |
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Revue | Bulletin de l'Association de Géographes Français |
| Numéro | no 2011/4 Les territoires de nature protégée | |
| Page | 444-458 | |
| Résumé |
Le texte interroge les modalités de la participation des populations locales à la gestion d'espaces protégés en Australie, au Canada et en Nouvelle-Zélande. Le texte postule que la participation s 'inscrit essentiellement dans une relation de pouvoir, conduisant à une recomposition des relations et des processus d'échanges entre les acteurs et aboutissant à l 'acceptation du pouvoir ou à un repositionnement des acteurs au sein du «champ du pouvoir ». Cette approche, s 'appuyant sur des exemples concrets d'espaces protégés, permet de hiérarchiser des niveaux de participation et d'identifier un champ de la participation au sein duquel les tensions servent la réorganisation et la recomposition des rapports entre les parties prenantes, offrant une possibilité de dépasser les appréciations et critiques binaires souvent apportées aux questions de participation. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
The paper interrogates how local communities participate in the management of protected areas in Australia, Canada and New-Zealand. It postulates that participation is primarily related to power, resulting in a reorganization of relations and of exchange processes between stakeholders, and ending in the acceptance of a repositioning of the actors within the "field of power" (as studied by Swiss geographer C. Raffestin). This study based on five protected areas shows a hierarchy of levels of participation and identifies a field of participation within which tense relationships may serve the reorganization of relations between the different stakeholder groups. This approach transcends the binary criticisms often developed about public participation. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/bagf_0004-5322_2011_num_88_4_8237 |
