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Titre Une entreprise au service du bien commun. Le témoignage de Schneider Electric
Auteur VERMOT-DESROCHES Gilles
Mir@bel Revue Futuribles
Numéro no 427, novembre-décembre 2018
Résumé Nous avons ouvert, dans notre numéro de septembre-octobre, une série consacrée aux apports de l'entreprise à la fabrique du bien commun et la poursuivons, dans ce numéro, au travers de témoignages d'acteurs au cœur de ces apports. Après l'expérience d'Initiative France, présentée dans l'article précédent par Jean-Pierre Worms, c'est au tour de Gilles Vermot-Desroches d'exposer le parcours de l'entreprise Schneider Electric en matière de mécénat et de développement de sa responsabilité sociale au sens large. Lancée en 1998, alors que la RSE (responsabilité sociale / sociétale des entreprises) commence à s'institutionnaliser, la fondation Schneider Electric vient logiquement prolonger et approfondir les démarches engagées par l'entreprise à travers le monde, dans son secteur, et en associant le plus de parties prenantes possible. Vingt ans plus tard, on voit ici comment une entreprise peut, concrètement, participer à son échelle à la fabrique du bien commun, et élargir son action au fur et à mesure qu'émergent de nouveaux défis de société. S.D.
Source : Éditeur (via Cairn.info)
Résumé anglais In our September/October issue, we began a series of articles on the contributions made by companies to the common good. We continue that series in this issue with the stories of some of the actors at the centre of these activities. After the experience of “Initiative France”, presented in the foregoing article by Jean-Pierre Worms, it is the turn of Gilles Vermot-Desroches to lay out what Schneider Electric has done in terms of sponsorship and developing its social responsibility in the broader sense. Launched in 1998, as CSR (Corporate Social Responsibility) was beginning to become an established norm, the Schneider Electric Foundation provided a logical continuation and expansion of the initiatives taken by the company within its sector across the world, bringing the greatest possible number of stakeholders together. Twenty years later, we can see here how a company can, concretely and at its own particular level, participate in promoting the common good, and extend its activity as new societal challenges emerge.
Source : Éditeur (via Cairn.info)
Article en ligne http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=FUTUR_427_0051 (accès réservé)