Titre | Imputabilité et secret dans la communauté australienne du renseignement : le Comité parlementaire mixte sur le renseignement et la sécurité | |
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Auteur | Richard Bolto | |
Revue | Revue Internationale des Sciences Administratives | |
Numéro | vol. 85, no 1, mars 2019 Numéro spécial sur le post-NMP : mythe, modèle, pas significatif du tout ? Exploration des réformes des services sociaux en Europe | |
Page | 145-162 | |
Résumé |
Le Parliamentary Joint Committee on Intelligence and Security (Comité parlementaire mixte du renseignement et de la sécurité) est un mécanisme d'imputabilité important, évolutif et peu connu. En tant que base d'une étude de cas, les documents du comité accessibles au public offrent un aperçu précieux des pratiques en matière d'imputabilité dans un secteur inhabituel du gouvernement. Ces documents mettent en lumière un éventail d'échanges en matière d'imputabilité et de relations plus larges, ainsi que certaines de leurs caractéristiques déterminantes. L'exploration des facteurs institutionnels critiques requiert une clarté conceptuelle au sujet de l'imputabilité et de ce qui la rend efficace ou inefficace. Un forum d'imputabilité peut donc être examiné comme un mécanisme social par lequel se déploient les étapes clés de l'imputabilité, du moins en théorie. Le secret est une variable médiatrice potentiellement importante en l'espèce, mais en appliquant les perspectives démocratiques et constitutionnelles à l'imputabilité, certaines forces et faiblesses plus générales sont évidentes.Bien que cette institution et la communauté australienne du renseignement soient distinctes et intéressantes, les connaissances empiriques et normatives sont limitées. La relation entre l'imputabilité et le secret est également importante, mais elle n'est pas particulièrement bien comprise. Les études sur l'imputabilité ont tendance à être fortement axées sur les concepts, bien que certains chercheurs aient exploré la notion de « bonne » ou de « mauvaise » imputabilité. Axée sur l'élaboration d'un cadre d'évaluation de l'imputabilité dans un contexte secret, la présente étude vise à contribuer à combler les lacunes dans les connaissances, aux concepts institutionnels d'imputabilité et aux nouveaux travaux empiriques. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
The Parliamentary Joint Committee on Intelligence and Security is a significant, evolving and little-known accountability mechanism. As the basis of a case study, publicly available committee documents offer valuable insights into accountability practices within an unusual area of government. These documents highlight a range of accountability exchanges and broader relationships, as well as some of their defining features. Exploring critical institutional factors requires conceptual clarity about accountability and what makes it effective or ineffective. An accountability forum can thus be examined as a social mechanism through which the key stages of accountability unfold, at least in theory. Secrecy is a potentially significant intervening variable in this case, but by applying democratic and constitutional perspectives on accountability, some more general strengths and weaknesses are evident.Points for practitionersWhile this institution and the Australian Intelligence Community are distinctive and interesting, empirical and normative understandings are limited. The relationship between accountability and secrecy is also significant but not particularly well understood. Accountability studies tend to have a strong conceptual focus, although some scholars have explored ‘good' or ‘poor' accountability. Focused on developing an evaluative framework concerning accountability within a secretive context, this study aims to contribute to these knowledge gaps, institutional concepts of accountability and emerging empirical work. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=RISA_851_0145 |