Titre | Fin de parti(e). La dénomination du PS en questions | |
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Auteur | Éric Treille | |
Revue | Mots. Les langages du politique | |
Numéro | no 120, juillet 2019 Nom d'un parti ! Pour une onomastique partisane | |
Page | 73-90 | |
Résumé |
Malgré l'inscription de l'enjeu de son abrègement typographique lors du congrès d'Aubervilliers de 2018 et les ruptures onomastiques déjà connues par une grande partie des formations politiques françaises, le PS a conservé sa siglaison. Parti fragilisé par le résultat historiquement faible de son candidat à l'élection présidentielle de 2017, il a fait le choix de la fidélité à l'un des éléments les plus forts de son identité, tout en trouvant d'autres voies symboliques pour sortir de l'après-défaite, comme la vente de son siège rue de Solférino et la perte d'un substitut discursif emblématique. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Despite the inscription of the challenge of its typographical abolition at the Aubervilliers congress of 2018 and the onomastic breaks with the past that are familiar to many of the French political parties, the Socialist party has retained its siglaison. The party, which was weakened by the historically poor result of its candidate in the 2017 presidential election, chose loyalty to one of the strongest elements of its identity, while finding other symbolic ways of leaving electoral defeat behind, with for example the sale of its headquarters in the rue de Solferino and the loss of an emblematic discursive substitute. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=MOTS_120_0073 |