| Titre | Le sacrifice comme « mythe scientifique ». De l'importance d'une définition anthropologique | |
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| Auteur | Christophe Lemardelé | |
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Revue | Cahiers d'anthropologie sociale |
| Numéro | no 16, 2018 De l'ethnologie à la préhistoire | |
| Page | 149-158 | |
| Résumé |
Alain Testart a toujours pensé que les sciences sociales n'existaient comme sciences à part entière qu'à partir du moment où étaient rigoureusement définis des objets d'étude. C'est pourquoi, sans s'intéresser spécifiquement au sacrifice humain et animal comme le font les historiens des religions, il en a proposé régulièrement des définitions théoriques. Si les travaux des archéologues et des anthropologues apparaissent désormais plus scientifiques en engageant une équipe de chercheurs et en s'appuyant sur des données quantitatives, sans une définition rigoureuse du sacrifice au préalable, les résultats présentés dans des publications collectives ne pourront être entièrement satisfaisants. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
Alain Testart has always argued that the social sciences could be considered as sciences if their research objectives were carefully stated and rigorously defined. Although not specifically focusing on human and animal sacrifices (as historians of religions tend to do), he has nevertheless regularly proposed theoretical definitions. Today, archaeological and anthropological research seems more scientific by virtue of its being conducted by teams of researchers and through its emphasis on quantitative data. Nevertheless, recent research on sacrifice presented in several collective publications fails to be completely satisfactory because of its failure to use a rigorous definition. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=CAS_016_0149 |
