Titre | Honorer les morts | |
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Auteur | Philippe Pasteau | |
Revue | Inflexions | |
Numéro | no 35, 2017/2 Le soldat et la mort | |
Rubrique / Thématique | Dossier |
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Page | 123-128 | |
Résumé |
Chaque commune a le devoir d'honorer la mémoire de ses soldats morts au champ d'honneur. Souvent qualifiés de « mémoire de pierre », les monuments aux morts sont des signes tangibles des disparus. Sorte d'immense tableau d'honneur, ils énumèrent les noms de ceux déclarés « morts pour la France » et s'élèvent en dernier rempart contre l'oubli. C'est après la Première Guerre mondiale, que les anciens combattants demandent au gouvernement d'ériger des menhirs, des stèles et des statues en souvenir de leurs frères d'armes tués au feu. L'universalité de l'hommage est inédite, puisque ce dernier s'étend jusqu'au niveau communal tandis que des corporations, des associations et des organismes religieux l'amplifient. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Each commune has a duty to honour the memory of its soldiers who died for their country. Often described as a “memory in stone”, monuments to the dead are tangible signs of the departed. Like an immense honour roll, they list the names of those declared to have “died for France” and stand as a last bastion against oblivion. After the First World War, veterans asked the government to erect stone slabs, columns or statues in memory of their brothers in arms killed in action. The tribute achieved an unprecedented universality, extending down to the level of communes, and amplified by businesses, associations and religious bodies. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=INFLE_035_0123 |