| Titre | La France et le drame yougoslave : six ans après ! | |
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| Auteur | Georges-Marie Chenu | |
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Revue | Politique étrangère |
| Numéro | vol. 62, no 2, 1997 | |
| Rubrique / Thématique | Libre propos |
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| Page | 367-380 | |
| Mots-clés (matière) | accord guerre civile minorité politique étrangère | |
| Mots-clés (géographie) | Allemagne Bosnie Herzégovine Croatie France Palestine Serbie Slovénie Yougoslavie | |
| Mots-clés (anthropo) | Jean Paul II Mitterrand (François) | |
| Résumé |
Après la disparition de Tito en 1980, c'est avec une attention distante que la France a suivi les événements qui, des premières violences au Kosovo en 1981, conduisirent à la destruction de la République socialiste fédérative de Yougoslavie en 1991. L'insuffisance de nos évaluations de ce qui se passait réellement surplace ne permit pas de faire un nécessaire et salubre partage entre une population abusée et des responsables cyniques et dangereux. La sympathie très ancienne des Français pour la Serbie les porta à se satisfaire des explications de Belgrade, à faire preuve d'indulgence et, enfin, a négliger les appels et les protestations des autres républiques. Chez le président François Mitterrand, à cette inclination vers les Serbes, s'ajoutait une préférence prudentielle pour les grands ensembles de pays regroupés. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/polit_0032-342x_1997_num_62_2_4649 |
