Titre | Je préfère vivre la guerre que de vivre dans ce camp | |
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Auteur | Maël Galisson, Claire Bruggiamosca | |
Revue | Plein droit | |
Numéro | no 125, juin 2020 Politiques d'expulsion | |
Rubrique / Thématique | Hors-thème |
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Page | 31-34 | |
Résumé |
En février 2020, le président turc Recep Tayyip Erdogan décidait
unilatéralement de suspendre l'accord UE-Turquie de 2016, qui, en
quatre ans, a transformé cinq îles grecques de la mer Égée en prisons
à ciel ouvert pour les exilé·es, les fameux hotspots. En 2016, le Gisti
envoyait une première mission à Lesbos et à Chios pour constater les
conséquences dramatiques de l'accord pour les exilé·es arrivant sur ces
îles. Fin 2019, une deuxième mission, envoyée à Samos, confirmait que
« l'approche hotspot », vantée par la Commission européenne comme la
solution à la « crise migratoire », a bien « engendré un monstre » Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PLD_125_0031 |