Titre | George Eliot, Bessie Rayner Parkes, Sarah Marks and Barbara Bodichon: New George Eliot Letters | |
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Auteur | William Baker | |
Revue | Etudes anglaises | |
Numéro | Vol. 73, no 1, janvier-mars 2020 George Eliot | |
Rubrique / Thématique | Articles |
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Page | 97-114 | |
Résumé |
George Eliot était perpétuellement préoccupée à l'idée ne pas en faire assez pour les autres, alors même qu'elle était constamment submergée de demandes d'aide. De là son ambivalence, notamment face aux demandes de soutien financier pour certaines causes ou certains individus. Dans cet article, des lettres récemment découvertes, ainsi que de nouveaux éclairages jetés sur des lettres déjà connues, démontrent qu'Eliot appartenait à un petit cercle de femmes faisant tout leur possible pour s'entraider émotionnellement, professionnellement et financièrement. Les préoccupations d'Eliot seront illustrées ici par les lettres qu'elle échangea avec trois correspondantes : Bessie Rayner Parkes (1829-1925), connue sous son nom d'épouse Mme Louis Belloc ; Phoebe Sarah Hertha Marks (1854-1923), plus jeune et moins bien introduite en société car issue d'un milieu désargenté ; et enfin Barbara Leigh Smith Bodichon (1827-1891). Si le choix a porté sur ces trois femmes, c'est que leurs lettres, en large partie inédites, éclairent la position de George Eliot au sein d'une communauté de femmes, et révèlent son empathie pour les difficultés rencontrées par ses connaissances ; elles montrent aussi les liens existant dans cette communauté entre amitié et questions financières. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
George Eliot was perpetually concerned about not doing enough for others whilst being continually inundated with requests for assistance. This resulted in her ambivalence, especially when it came to contributing money to various causes or individuals. In this essay, newly discovered letters, as well as a new focus on familiar ones, demonstrate the ways that Eliot was part of a community of women who helped each other emotionally, professionally and financially as much as they could. The letters she wrote to three correspondents—Bessie Rayner Parkes, also known as Mme Louis Belloc (1829-1925); the much younger and far less well connected, indeed from an impoverished background, Phoebe Sarah Hertha Marks (1854-1923); and Barbara Leigh Smith Bodichon (1827-1891)—will be used to illustrate her concerns. The reasons for the choice of these three are that the letters, largely unpublished, shed light on George Eliot as part of a female community and reveal her empathy for the plight of others, as well as the link between friendship and financial issues. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=ETAN_731_0097 (accès réservé) |