| Titre | L'élasticité d'une organisation en crise de direction | |
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| Auteur | Robert Pagès | |
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Revue | Sociologie du travail |
| Numéro | vol; 7, no 4, octobre-décembre 1965 | |
| Page | 19 pages | |
| Résumé |
L'étude des différentes phases d'une crise de direction dans un établissement scolaire privé donne l'occasion de réfléchir sur le caractère relativement flou des délimitations de certaines organisations sociales. Le degré de participation à l'organisation ne tient pas au fait qu'on y est présent physiquement, mais à la façon dont on participe au système fonctionnel dominant, défini par la «pertinence» des actes par rapport au noyau principal des finalités. L'examen des zones marginales d'une organisation ne se sépare donc pas de celui de sa structure centrale. Ainsi, les élèves et les parents d'élèves de l'établissement en crise n'interviennent de façon décisive pour empêcher la révocation du directeur qu'à partir du moment où un certain nombre de conditions sont réalisées.
C'est moins une théorie que nous propose l'auteur qu'un effort de précision des concepts et de formalisation. La notion de «ressort» d'une organisation est mise en rapport avec la problématique des relations de pouvoir et celle des organisations officieuses ou «informelles ». Il importe de ne pas confondre ce «ressort» avec l'interaction des participants. Tel quel, ce concept est particulièrement destiné à des explorations expérimentales. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/sotra_0038-0296_1965_num_7_4_1242 |
