| Titre | Réflexions autour d'une étude d'évaluation des formations à la communication chez Total | |
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| Auteur | Dominique Massoni, Sophie Tiévant | |
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Revue | Sociologie du travail |
| Numéro | vol. 34, no 3, juillet-septembre 1992 | |
| Page | 10 pages | |
| Résumé |
L'évaluation des formations à la communication au sein de cette grande entreprise met en évidence plusieurs faits . On constate en particulier que la notion de communication ne fait pas l'objet d'un consensus entre les différents groupes. La perception de l'utilité ou de la non utilité des stages dépendra donc de la position et des projections personnelles des individus. De plus, alors que l'unanimité se fait pour valoriser les apports des stages en termes relationnels ou personnels, l'impact sur les situations professionnelles reste faible. Ce décalage conduit a s'interroger sur le rôle réel de ces formations de façon plus générale sur les conditions de mise en place et dévaluation de la Formation en entreprise. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
D. Massoni and S. Tiévant
Comments on a Study Assessing Training in Communications at Total
The assessment of training in communication in a big company like Total calls for several comments. There is no consensus among various groups about the notion of communication. Whether or not such training is perceived as being useful depends, therefore, on individuals' personal positions and projections. Although everyone agrees that the training is important for personal or relational reasons, it is thought to have a weak on-the-job impact. This discrepancy leads us to inquire into the place for this sort of training and the criteria used to evaluate it. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/sotra_0038-0296_1992_num_34_3_2604 |
