| Titre | Temps linéaire, temps cyclique : "Gundermann" d'Andreas Dresen ou le mythe comme voie du salut | |
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| Auteur | Valérie Carré | |
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Revue | Germanica |
| Numéro | no 68, 2021/1 La rupture temporelle de 1989 et sa représentation dans la littérature, le cinéma et le théâtre | |
| Rubrique / Thématique | Dossier |
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| Page | 97-112 | |
| Résumé |
Cet article propose une analyse du film d'Andreas Dresen, Gundermann (2018). Ce dernier est un biopic consacré au chanteur qui était en même temps conducteur d'excavatrice à godets dans une mine de lignite en Lusace. Le texte s'intéresse aux modalités de la narration et met dans un premier temps en évidence, d'une part, en quoi la construction du film en flash-backs permet un dialogue entre passé et présent et explore, d'autre part, la manière dont la rupture de 1989 est traitée. Dans un deuxième temps, l'analyse se tourne vers des formes plus métaphoriques du temps et montre que le film insiste sur la concurrence entre temps linéaire et temps cyclique et tend ainsi à une mythologisation du récit. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
This paper deals with Andreas Dresen's film Gundermann (2018). The biopic tells Gundermann's story who was a very well-known singer in the East of Germany and also a bucket-wheel-excavator-conductor on an east-german open mining until his death in 1998. First the paper focuses on narratological elements, on how past and present connect or disconnect with each other. Secondly the analyses works out the way Dresen's film tends to turn the events to a myth by using many mythological elements on the one hand and by pointing at a competition between a cyclical and a linear concept of time on the other hand. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=GERMA_068_0097 |
