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Titre Psychological Ownership meets the Big Five
Auteur Elena Essig, Richard Soparnot
Mir@bel Revue Revue de gestion des ressources humaines
Numéro no 120, avril-mai-juin 2021
Page 22-38
Résumé Cette étude s'appuie sur la théorie de la Propriété Psychologique (Pierce et al., 2001) et explore les traits de personnalité de Big Five Inventory (BFI) (John et al., 1991) comme ses antécédents. L'objectif de cet article est de poursuivre l'étude des facteurs qui influencent l'émergence de la propriété psychologique organisationnelle et donc d'examiner les différences individuelles. Notre recherche quantitative a échantillonné un total de 236 jeunes professionnels ayant répondu à une enquête d'auto-évaluation. Les prédicteurs BFI de la propriété psychologique organisationnelle ont été testés à l'aide de la modélisation des équations structurelles (SEM). Après avoir décomposé les traits de BFI en facettes, notre étude a révélé que tous les cinq traits de personnalité influencent, au moins de manière partielle, le sentiment de propriété. En outre, des différences entre les genres ont été constatées. Nous avons trouvé qu'une facette de l'agréabilité prédit plus fortement les sentiments de la propriété pour les hommes que pour les femmes. Les conclusions tirées de notre étude contribuent à la recherche scientifique et permettent d'établir des implications managériales.
Source : Éditeur (via Cairn.info)
Résumé anglais This study builds up on the theory of Psychological Ownership and explores the Big Five Inventory (BFI) personality traits as its antecedents. The purpose of the paper is to pursue the investigation of factors that influence the emergence of psychological ownership feelings and to study the individual differences. Our quantitative study sampled a total of 236 young professionals who completed an auto-evaluation survey. The BFI predictors of organizational psychological ownership were tested using structural equation modeling (SEM) analysis. After breaking down the BFI traits in facets, our study found that all five personality traits at least partially predict psychological ownership toward the organization. Furthermore, gender differences have been identified. We found that the agreeableness facet is a stronger predictor of ownership feelings for men than for women. Illustrations are drawn from our study that give rise to a discussion about significant practical implications about psychological ownership feelings for individuals and organizations.
Source : Éditeur (via Cairn.info)
Article en ligne http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=GRHU_120_0022 (accès réservé)