Titre | Transition environnementale, géographie et dispositifs de recherche interdisciplinaire | |
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Auteur | Marianne Cohen, Thalia Lemaître, Tanguy Louis-Lucas, Joaquim Sampère | |
Revue | Bulletin de l'Association de Géographes Français | |
Numéro | no 2020/4 Transition(s) | |
Rubrique / Thématique | Approches géographiques de la transition : transition énergétique, transition écologique |
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Page | 569-583 | |
Résumé |
La transition environnementale, et plus spécifiquement la transition énergétique, représentent aujourd'hui un nouveau défi pour les territoires et notre Planète Terre, à la compréhension desquels les géographes contribuent avec leurs outils d'analyse et en participant à des dispositifs de recherche interdisciplinaire, tels que l'Institut de la Transition Environnementale de Sorbonne Université (SU-ITE). Après avoir rappelé les multiples définitions de la transition, et les démarches qui peuvent y être associées, les objectifs de SU-ITE sont présentés. Un exemple de contribution des géographes à cet institut est exposé, l'analyse et la cartographie des discours des nations ayant conclu l'accord de Paris sur le changement climatique. Ces méthodes s'avèrent pertinentes pour comprendre les nouveaux découpages du monde et anticiper les limites de l'application de cet accord, 5 ans après la COP 21. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
The environmental transition, and more specifically the energy transition, represents today a new challenge for territories and our Planet Earth, to the understanding of which geographers contribute with their analytical tools, and by participating in interdisciplinary research institutions, such as the Institute of Environmental Transition at the Sorbonne University (SU-ITE). After recalling the multiple definitions of transition, and the approaches that can be associated with it, the objectives of SU-ITE are presented. An example of the contribution of geographers to this institute is presented, the analysis and mapping of the discourses of the nations having concluded the Paris agreement on climate change. These methods prove to be relevant for understanding the new world divisions and for anticipating the limits of the application of this agreement, 5 years after COP 21. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://journals.openedition.org/bagf/7619 |