| Titre | La place des animateurs au sein de l'intervention sociale : quelle formation pour quelles missions ? | |
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| Auteur | Véronique Bordes | |
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Revue | Pensée Plurielle |
| Numéro | no 15, 2007 Ville, lien social, intervention sociale | |
| Page | 101-109 | |
| Résumé |
Cette communication présente une partie des résultats d'une recherche menée à partir d'un positionnement socio-ethnographique. Durant deux ans, l'observation d'un service jeunesse d'une ville de banlieue Nord de Paris a permis de mettre en avant les processus qui se développent lors de la mise en place de la politique locale en direction de la jeunesse. Placés au cœur même des échanges entre la jeunesse et la municipalité, les animateurs ont un rôle important à jouer. En étant au plus près des publics, au sein des quartiers, à l'écoute des besoins, ils accompagnent le développement de projets qui vont permettre aux personnes de se retrouver au sein d'actions collectives.Aujourd'hui, nombreux sont les professionnels qui se retrouvent dans l'intervention sociale, de nouveaux métiers et de nouvelles formations brouillant encore le champ professionnel. L'animateur est-il encore en capacité d'impulser des projets « utopiques » en se basant sur les valeurs de l'éducation populaire, se positionnant comme un « militant de terrain », provocateur de réflexion, de mise en débat d'idées et de construction collective ? Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
This paper presents part of the results of a research work done from a socioethnographic view. For two years the “youth department” of a suburban town north of Paris has been observed and this work enables us to put forward the processes put to work when a local youth policy is decided upon. Although still perceived as a “public jester”, the “animateur” now finds himself occupying a privileged place in social intervention. By being closest to people in the neighbourhoods by listening to their needs, he accompanies the development of projects which will enable people to take part in collective actions.Today, many a professional finds himself in the world of social intervention, new occupations and new training adding to the confusion of this professional field. Is the “animateur” still capable of bringing about “utopian” projects based on the values of the “éducation populaire”? Can he still pose as a field worker, an agent of collective construction who can raise questions and debate? Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PP_015_0101 (accès réservé) |
