Titre | Vingt-cinq ans de travail social : l'anniversaire comme rite de passage | |
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Auteur | Josefa Fombuena Valero | |
Revue | Pensée Plurielle | |
Numéro | no 22, 2009 Accompagnement : le lien social sous tension | |
Page | 123-132 | |
Résumé |
L'acte de célébrer une date peut être considéré comme un rite de passage qui transforme un événement privé en une cérémonie publique. En travail social, les rites sont nécessaires pour permettre que cette profession, jeune d'à peine une centaine d'années, grandisse en s'adaptant aux nouvelles donnes. Les rites sont des actes qui représentent, sur une séquence de temps, le mythe fondateur du travail social. Le mythe a un côté clair et noble, fondateur, et un côté obscur et suspect, comme si toute origine transmettait quelque manque de légitimité et beaucoup de secrets. Nous révélerons ces deux aspects et nous rendrons un peu plus explicite le mythe fondateur du travail social. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
The rise of chronic illness challenges medicine and carers to accompany and follow up a new kind of patients. At the same time this challenge appears as a professional necessity. According to that, medical accompaniment can be seen as a palliative answer to the limits of a strict bio-medical approach of the patients. By accompanying them, the medicine makes some institutional choices which involve their biographical trajectory: it refers to their autonomy, to their self-determination, and thus attempts to create a new sort of social cohesion grounded on a conception of a common responsibility. However, the reality of this necessity appears to be rather contradictory, for it has at the same time to deal with the political and economical issues of the health systems. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PP_022_0123 (accès réservé) |