Titre | « Partir, c'est mourir un peu ». Réflexions sociohistoriques sur la mobilité et l'errance | |
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Auteur | Jacques Rodriguez | |
Revue | Pensée Plurielle | |
Numéro | no 35, 2014 L'errance : d'un non-lieu à un non-lieu | |
Page | 21-32 | |
Résumé |
En se basant sur le dernier livre de l'historien André Gueslin, cet article vise, non pas tant à recenser le travail de l'auteur, mais à présenter et discuter certains des éléments d'analyse qu'il a développés sur l'histoire du vagabondage et des sans-abri en France. Quatre thèmes seront ainsi privilégiés : la production sociale de cette marginalité, la culture de la rue, les représentations de l'errance, et, enfin, les réactions suscitées par ces populations mobiles. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Every departure is a death. Socio-historical reflections on mobility and wandering The purpose on this article, based on the last book of the historian André Gueslin, is not so much to list the work of the author than to expose and discuss some of the analysis elements he developed on the history of vagrancy and homeless people in France. Four themes will so be enhanced: the social production of this marginality, the street culture, the representations of the wandering, and lastly, the social reactions aroused by these mobile populations. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PP_035_0021 (accès réservé) |