Titre | Breakfast at Frogmore and Feathers in Portman Square: Women's Property and Elite Sociability | |
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Auteur | Mascha Hansen | |
Revue | Etudes anglaises | |
Numéro | vol. 74, no 3, juillet-septembre 2021 Sociable Spaces in Eighteenth-Century Britain: A Material and Visual Experience | |
Rubrique / Thématique | Articles |
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Page | 300-316 | |
Résumé |
C'est une fois veuve et fortunée qu'Elizabeth Montagu entreprit la construction de Montagu House, sur Portman Square, quittant la maison de Hill Street, où elle avait vécu avec son mari, pour faire de son salon littéraire un endroit très couru : les visiteurs admiraient notamment la décoration de ce qu'elle nommait son « salon aux plumes ». Une dizaine d'années plus tard, en 1790, la reine Charlotte acquit Frogmore, sa résidence à la campagne près du château de Windsor, qui devait accueillir nombre de déjeuners élégants, de réceptions d'anniversaire fastueuses et de commémorations royales. Dans l'étude des formes de sociabilité, les demeures privées jouent un rôle important. Cet article se penche sur les espaces de sociabilités de l'élite féminine, en étudiant les demeures des femmes : comment celles-ci utilisaient-elles un espace domestique construit et décoré selon leurs propres goûts ? Que révèlent ces intérieurs sur la conception qu'elles se faisaient de la sociabilité distinguée de l'époque et, par conséquent, sur leur perception du rôle de leurs demeures en tant qu'espaces de sociabilité ? Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Elizabeth Montagu began to build Montagu House in Portman Square when a wealthy widow, leaving her married home on Hill Street to take her bluestocking salon to new fashionable heights: visitors admired especially the taste of her so-called feather room. Roughly a decade later, in 1790, Queen Charlotte bought Frogmore near Windsor Castle, her country retreat, which was to be the site of fashionable breakfasts, lavish birthday parties and royal anniversaries. The house as a sociable space is an important aspect of the study of sociability. In this paper, I wish to shed new light on elite women's sociable spaces by looking into their own homes: how did they make use of a domestic sphere built and decorated to their own taste? What do these places have to tell us about women's notions of fashionable sociability at the time, and, by comparison, about their perceptions of the role of their own homes as sociable spaces? Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=ETAN_743_0300 (accès réservé) |