Titre | Relations Russie-Turquie : le prisme du Haut-Karabakh | |
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Auteur | Vicken Cheterian | |
Revue | Confluences Méditerranée | |
Numéro | no 124, printemps 2023 Caucase-Asie centrale : cet au-delà moyen-oriental | |
Rubrique / Thématique | Dossier. Caucase-Asie centrale : cet au-delà moyen-oriental |
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Page | 55-68 | |
Résumé |
Un facteur important qui a décidé du sort de la seconde guerre
du Haut-Karabakh a été l'intervention, ou la non-intervention,
de puissances extérieures. Alors que de nombreux analystes
s'attendaient à un rôle actif de la Russie pour défendre son allié
nominal, l'Arménie, les dirigeants russes ont préféré adopter
le rôle de médiateur entre les parties belligérantes, malgré
l'intervention directe de l'armée turque dans les opérations
militaires azerbaïdjanaises. Les mécanismes de coopération que
la Russie et la Turquie ont développés d'abord en Syrie, puis en
Libye, ont également été appliqués dans le Caucase pendant la
guerre du Karabakh. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
An important factor that decided the fate of the second Nagorno-Karabakh war was the intervention, or non-intervention, of outside
powers. While many analysts expected an active Russian role
in defending its nominal ally, Armenia, the Russian leadership
preferred to adopt the role of mediator between the warring
parties, despite the direct intervention of the Turkish army in
Azerbaijani military operations. The cooperation mechanisms
that Russia and Turkey developed first in Syria and later in Libya,
were also applied in the Caucasus during the Karabakh war. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=COME_124_0057 (accès réservé) |