| Titre | Goethe et Schubert. Après une lecture du Faust | |
|---|---|---|
| Auteur | Fériel Kaddour | |
 |
Revue | Archives de philosophie |
| Numéro | Tome 87, no 4, octobre-décembre 2024 L'affinité, des affinités, les affinités électives ? | |
| Rubrique / Thématique | Dossier. L'affinité, des affinités, les affinités électives ? |
|
| Page | 23-40 | |
| Résumé |
Schubert et Goethe ne sont jamais rencontrés. Leur affinité, pourtant, existe en musique. Cet article en explore les motifs à partir de deux lieder extraits du Faust. Plutôt que de penser cette affinité depuis la musique, je montre que le jeu affinitaire du chant et du poème est déjà présent dans le texte de Goethe. Il s'agit donc de décrire comment Schubert met en musique ce que le poème goethéen fait du lied. C'est en cela que leur affinité est la plus remarquable : poésie et musique se rencontrent à l'endroit même où se pose la question de leur jonction. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
| Résumé anglais |
Schubert and Goethe never met. Nevertheless, their affinity exists in Schubert's music. This article explores the reasons for this through two leider from Faust. But rather than considering this affinity from a musical point of view, I show that the affinities between song and poem are already present in Goethe's text. The point is to show how the composer puts into music what the Goethean poem had already made of the lied. This is undoubtedly where their affinity is most striking: poetry and music meet at the very point where the question of their junction arises. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
| Article en ligne | https://shs.cairn.info/revue-archives-de-philosophie-2024-4-page-23?lang=fr (accès réservé) |
