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Fratelli d'Italia est l'hymne national italien. Le 17 mars 2011, l'Italie devrait fêter le cent-cinquantième anniversaire de son unité. Mais un siècle et demi plus tard, les luttes politiques qui déchirent l'Italie ont brisé l'unanimité qui devait entourer cette commémoration. Le problème vient de la Ligue du Nord dirigée par l'imprévisible Umberto Bossi.

La question des ressources alimentaires disponibles pour les plus pauvres semblait avoir trouvé une réponse grâce à la hausse sans précédent des rendements agricoles. Mais les émeutes de la faim de 2009 et le rachat de terres par certains pays témoignent que des régions du monde ont peur pour leur approvisionnement à long terme.

A l'heure de la révision des lois de bioéthique, du questionnement sur l'opportunité de la légalisation des mères porteuses et de la légitimité du maintien de l'accouchement sous x, l'enfant reste trop souvent le grand absent des débats. Ne serait-il pas la victime des bricolages de la filiation rendus possibles par la médecine et la pratique de l'anonymat ?

Résumé« Qui peut dire la prison… qui peut dire le silence ? » Sans déchirer ici ce silence, cet article évoque les grandes évolutions des prisons et de la politique pénitentiaire depuis vingt ans. Il tente de définir les traits les plus essentiels des relations carcérales, au sens des rapports sociaux qui se nouent entre le personnel et les personnes détenues.

La notion de care a surgi sur la place publique en France suite à une déclaration de Martine Aubry : « Il faut passer d'une société individualiste à une société du care, selon le mot anglais que l'on peut traduire par “le soin mutuel” ». Le care, qui a déjà une histoire riche dans le monde anglo-saxon, semble une idée neuve en Europe.

Un double phénomène se dessine depuis quelques décennies. Tantôt le religieux est à ce point identifié à une culture qu'on ne sait plus si « chrétien » ou « musulman » désignent une croyance religieuse ou une identité culturelle. Tantôt des courants religieux fondamentalistes se déploient dans une déconnexion délibérée de toute appartenance culturelle.

Dans l'œuvre de Mambrino, l'écriture et la parole s'unifient en un seul acte qui redonne tout son poids à la gratitude d'être, de vivre, de continuer à tisser les fils d'or des amitiés humaines. Sa poésie se distingue par une apologie du corps, retrouvé à la fois dans l'exaltation du cosmos, de la voix et de la lumière.