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Ce texte fait état des principales recherches qui ont été menées dans le domaine de la couverture des nouvelles internationales dans les mass media, tant électroniques qu'écrits, au Québec et au Canada anglais. En plus d'apporter une description très détaillée des résultats auxquels ces études ont conduit, l'auteur en tire d'importantes leçons sur le plan de la problématique que représentent le concept d'unité canadienne, d'une part, et la spécificité culturelle du Québec, d'autre part.

C'est à travers diverses formes d'organisation que les acteurs sociaux communiquent. L'auteur décrit ici une de ces formes, le réseau, qu'il oppose à l'appareil, en explicitant les oppositions et les relations entre ces deux formes d'organisation et la généralité de ces deux notions transdisciplinaires.

Le point de départ de cette réflexion sur le discours politique de presse, c'est qu'on aurait intérêt à considérer qu'un tel discours recouvre en réalité des ensembles d'énoncés distincts aux locuteurs multiples. S'inspirant de la syntaxe fonctionnelle, l'auteur montre d'abord comment on peut arriver à départager des énoncés de presse en corpus distincts, correspondant soit à un discours de la presse, soit à un discours d'acteurs non-journalistiques dans la presse. Il examine ensuite au moyen d'une application concrète, la pertinence méthodologique d'une telle distinction pour caractériser l'énonciation journalistique du discours politique.

Big Brother est-il parmi nous ? L'auteur décortique ici diverses dimensions de la surveillance des citoyens par les pouvoirs : pourquoi cette surveillance ? qui nous surveille et qui est surveillé ? à quel point ? Il dresse aussi un inventaire des moyens scientifiques et techniques et des appareils qui rendent possible et efficace cette surveillance.

Dans le dernier numéro de Communication et Information (vol. III, no 3), Guy Giroux critiquait le passage du concept d'information gouvernementale à celui de communication gouvernementale, y voyant une façon de masquer le passage d'une communication informative à une communication persuasive. Un autre travailleur des communications gouvernementales québécoises apporte ici un point de vue différent. Jean-Paul Quinty s'attache à montrer en quoi c'est le foisonnement législatif et la complexification de fait des relations entre l'État et les citoyens, qui doivent de plus en plus être bilatérales, qui ont conduit à privilégier le concept de communication gouvernementale, plus riche et plus englobant : c'est la pratique qui a fait évoluer la théorie dans ce domaine.

On a coutume de dire que c'est dans les grandes épreuves que se révèle le fond d'une personne : Denis Bernier nous fait voir ici comment la presse, Le Devoir inclus, fabrique de grandes épreuves à la mort d'une vedette pour se faire des fonds, renchérissant quotidiennement sur un pathos auquel elle prête d'emblée les proportions d'une grande tragédie. L'antique fatum apprêté à une sauce disco.