| Titre | Tendances récentes des migrations dans le Pacifique Sud | |
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| Auteur | Jean-Louis Rallu | |
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Revue | Espace Populations Sociétés |
| Numéro | no 2, 1994 Les populations du Pacifique - Populations of the Pacific | |
| Rubrique / Thématique | Articles |
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| Page | 201-212 | |
| Résumé |
Tendances récentes des migrations dans le Pacifique Sud. Les migrations internationales dans le Pacifique Sud se sont principalement, mais non exclusivement, développées selon les liens aux anciennes puissances coloniales. Depuis 1980, les réseaux se sont complexifies en raison des crises économiques et des changements des politiques migratoires. Les Océaniens migrent plus fréquemment vers l'Australie, directement ou via la Nouvelle- Zélande, et vers des destinations de substitution comme Samoa américaine. Les populations polynésiennes de plusieurs pays comptent plus de ressortissants à l'extérieur que dans les îles, mais la migration mélanésienne reste peu importante. La migration a créé un système économique particulier, reposant sur les envois d'argent des émigrés et l'aide internationale, avec pour seul output la bureaucratie. La vie chère dans les îles gêne la production agricole et le développement d'un secteur secondaire, sans empêcher la fuite des cerveaux. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
Recent Trends of Migration in the South Pacific Area. International migration in the South Pacific is mainly linked with ex-colonies. From 1980, patterns of migration have changed due to economic recession and restrictive migration policies. People more often migrate to Australia, directly from island countries or via New Zealand, or to smaller migration countries like American Samoa. A few Polynesian populations count less people in the islands than in migration countries. Migration from Melanesia remains small. Migration resulted in MIRAB economies, based on remittances and aid with bureaucraty as only output. Expensive living conditions hinder agricultural production and development of secondary sector, but do not prevent brain drain. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | http://www.persee.fr/doc/espos_0755-7809_1994_num_12_2_1640 |
