Contenu du sommaire : Lénine et sa pensée : problèmes, solutions, interprétations
Revue | Revue Française de Science Politique |
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Numéro | 21e année, n°1, 1971 |
Titre du numéro | Lénine et sa pensée : problèmes, solutions, interprétations |
Texte intégral en ligne | Accessible sur l'internet |
Lénine et sa pensée : problèmes, solutions, interprétations
- Unité prolétarienne et diversité nationale. Lénine et la théorie de l'autodétermination - Hélène Carrère D'encausse p. 221-255 Unité prolétarienne et diversité nationale, Lénine et la théorie de l'autodétermination, par Hélène Carrère d'Encausse Dans l'élaboration de la théorie révolutionnaire, de Marx aux marxistes contemporains, la place de la nation a toujours été définie de façon ambiguë. La révolution, oeuvre des classes en lutte, laisse-t-elle place au sentiment d'appartenance nationale ? Lénine qui s'efforçait de porter la révolution dans un empire multinational a, contrairement à la plupart des marxistes de son époque, tenté de concilier lutte des classes et aspiration des nations à réaliser leur destin propre. Mais cet intérêt particulier pour le problème de la nation constitue plus en ce qui le concerne une innovation tactique qu'un apport fondamental à la conception marxiste de la nation. Lenine s'est soucié avant tout de désarmer les méfiances nationales, de canaliser les aspirations nationales dans le grand courant révolutionnaire de son époque, pensant par cette collaboration réussir à dépasser la nation et à fondre les intérêts particuliers des nationaux dans les intérêts globaux du prolétariat. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 221-255]Proletarian unity and national diversity, Lenin and the theory of autodetermination, by Hélène Carrère d'Encausse In the elaboration of the theory of the revolution, from Marx to contemporary Marxists, the place of the nation has always been defined ambiguously. Does the revolution, which is the task of classes engaged in the class struggle, leave room for a feeling of national belonging? Lenin who sought to bring revolution to a multinational empire tried, contrary to most of the Marxists of his time, to conciliate the class-struggle and the desire of nations to fulfil their individual destinies. But this interest in the problem of the nation was for him more a tactical innovation than a fundamental contribution to the Marxist conception of the nation. Above all Lenin tried to unarm nationalist reticences, to canalize national aspirations into the great revolutionary current of his time, believing that by this collaboration he would manage to overcome the nation and drown the particular interests of the nationals in the global interests of the proletariat. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 221-255]
- Guerre et révolution chez Lénine - Georges Haupt p. 256-280 Guerre et révolution chez Lénine, par Georges Haupt Cette étude analyse les rapports entre guerre et révolution dans la pensée et la stratégie de Lenine. Le problème est de savoir quelle place occupe la guerre en tant que frein ou ferment dans ses calculs stratégiques. Dans la hiérarchie des facteurs, Lenine ne lui assigne aucune place fixe : ce n'est qu'une variable subordonnée. Or, devant un fait historique donné, le déclenchement de la première guerre mondiale et l'effondrement de l'Internationale, Lénine, s'insérant dans le courant de réflexions amorcé par Engels et Kautsky, cherche à tirer parti de cette situation nouvelle dans l'élaboration de l'essentiel : sa stratégie de la révolution. Si, au début, la guerre est pour lui la poursuite de la même politique qu'en temps de paix et s'il estime que son objectif majeur a été d'empêcher que la révolution éclate, il ne tarde pas à la considérer comme une crise violente du capitalisme à son stade monopolistique et il tente de mettre ses effets corrosifs au profit d'une stratégie révolutionnaire dont elle devient une constante. Il replace la première guerre mondiale dans un cycle de crises qui devront se traduire par de nouvelles guerres et de nouvelles situations révolutionnaires ; il évite de fixer l'échéance d'une révolution socialiste victorieuse dont l'épicentre devrait se situer en Russie, "maillon le plus faible de la chaîne capitaliste". [Revue française de science politique XXI (2), avril 197,1 pp 256-280]War and revolution in Lenin, by Georges Haupt This is an analysis of the links between war and revolution in the thought and strategy of Lenin. Its aim is to find out what part war played - as a brake or a spur - in his strategy. Lenin does not appoint it a given place along the scale of factors, he considers it a secondary variable. When confronted with a particular historical fact, the outbreak of the first world war and the collapse of the International, Lenin, following the train of thought of Engels and Kautsky, tries to get the most out of the new situation in viev of what is for him essential: his strategy of the revolution. If, at the beginning, he sees war as the continuation of the same peace-time policy and believes that its first aim is to prevent the outbreak of the revolution, he soon comes to consider it as an acute crisis of capitalism in its monopolistic stage and he tries to use its destructive effects in favour of a revolutionary strategy in which it will become a constant element. So he puts the first world war in the perspective of cyclical crises which will actually produce more wars and more revolutionary situations. He thus avoids giving a definite date for a victorious socialist revolution whose centre would be in Russia "the weakest link in the capitalistic chain". [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 256-280]
- Le parti socialiste (S.F.I.O.) devant le bolchevisme et la Russie soviétique, 1921-1924 - Nicole Racine p. 281-315 Le Parti socialiste (S.F.I.O.) devant le bolchévisme et la Russie soviétique, 1921-1924, par Nicole Racine Dès le lendemain de la scission de Tours en décembre 1920, se développe dans le Parti socialiste S.F.I.O. une critique du bolchevisme et de l'expérience soviétique, commune aux différents courants qui animent alors le parti. A travers la lecture du Populaire, de 1921 à 1924, se dégage une critique doctrinale du bolchevisme (interprétation erronée du socialisme marxiste), une critique de la tactique internationale du bolchevisme (rôle néfaste de l'Internationale communiste dans le mouvement ouvrier), enfin une critique de l'expérience sociale "prématurée" menée en Russie par les bolcheviks, et des méthodes utilisées. Ainsi s'exprime une opposition fondamentale au bolchevisme qui demeure malgré tout ambiguë, en raison de la solidarité proclamée avec la Révolution russe. L'image qui naît de la Russie soviétique s'est fixée dans le Parti socialiste S.F.I.O. du vivant même de Lénine, avant l'ère stalinienne. On peut dire que l'antibolchevisme du Parti socialiste français s'est constitué très tôt, et qu'il explique l'attitude de la social-démocratie française devant le communisme. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 281-315]The Socialist Party (S.F.I.O.), Bolshevism and Soviet Russia 1921-1924, by Nicole Racine After the schism in Tours in December 1920 criticism of bolshevism and the Russian experiment developed in the Socialist Party within the different wings of the party. Between 1921 and 1924 The Populaire criticized bolshevist doctrine (a mistaken interpretation of Marxist socialism), the international tactics of bolshevism (the evil role of the Communist International within the working-class movement), and the "premature" social experiment carried out in Russia by the bolsheviks and the methods they used. Thus one finds expressed a fundamental opposition to bolshevism which nonetheless remains ambiguous on account of the declared solidarity with the Russian revolution. The image of Soviet Russia took form within the Socialist Party during Lenin's life, well before the Stalin era. The anti-bolshevist attitude of the French Socialist Party came into being early and explains the attitude of French social democracy towards communism. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 281-315]
- L'image de Lénine en Occident - Renata Bournazel p. 316-336 L'image de Lénine en Occident, par Renata Bournazel Plus de cinquante ans après la révolution d'Octobre, le débat des historiens occidentaux autour de Lénine et de son héritage est loin d'être clos, d'autant plus qu'il se déroule à la fois au niveau de l'histoire et de la politique. Ainsi, l'image de Lénine en Occident se présente sous des facettes multiples, et la gamme des jugements - qui sont d'ailleurs inextricablement liés au problème plus large du destin historique de la Russie et à la place du bolchevisme dans la pensée révolutionnaire européenne - va de l'usurpateur jusqu'au chef charismatique génial. Toutefois, la publication d'une importante documentation depuis le xxe congrès du P.C.U.S. permet désormais de trancher de nombreux problèmes controversés et de mettre fin à certaines légendes tenaces qui avaient pris naissance dans l'entre-deux-guerres. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 316-336]Lenin's image in the western world, by Renata Bournazel More than fifty years after the October revolution, the controversy amongst western historians about Lenin and his posterity is far from being settled; this is all the more so as it takes place on two different levels: the historical and the political. Thus Lenin's image in the western world can be viewed from various angles and the whole range of evaluations - which, moreover are inextricably entangled with the major question of the historical destiny of Russia and of the place of bolshevism in European revolutionary thought - varies from the usurper to the genius and charismatic leader. However the publication since the 20th Congress of the Communist Party of the Soviet Union, of a number of documents now makes it possible to verify certain points and to put an end to some hardy legends which had sprung up between the two world wars. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 316-336]
- Unité prolétarienne et diversité nationale. Lénine et la théorie de l'autodétermination - Hélène Carrère D'encausse p. 221-255
Les conflits internationaux : le rôle des organisations revint dans les conflits entre leurs membres
- Introduction - p. 337-338
- L'Organisation des États américains - Jean-Paul Hubert p. 339-361 L'organisation des états Américains, par Jean-Paul Hubert La plus ancienne des organisations à compétence régionale, l'O.E.A., a été structurée entre 1945 et 1948, au moment même où s'organisaient les Nations Unies. Le traité de Rio, sans contrevenir aux dispositions de la Charte de 1'O.N.U., assure au continent américain un système de sécurité collective. Mis à l'épreuve, ce système s'est révélé efficace aussi longtemps qu'il s'est agi de régler des conflits proprement interaméricains ; mais dans les cas où les intérêts opposés des grandes puissances se trouvaient mis en jeu, comme une conséquence de la "guerre froide", il n'a pas dispensé de recourir aux Nations Unies, elles- mêmes paralysées par l'existence du droit de veto. Du moins le système interaméricain peut-il servir de modérateur de la prépondérance détenue par les Etats-Unis. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 339-361]The organisation of the American states, by Jean-Paul Hubert The oldest organisation having a regional competence, the Organisation of the American States, came into being between 1945 and 1948 at the very time when the United Nations was becoming organized. The Rio treaty, without going against the United Nations charter gave the American continent a system of collective security. Put to the test, this system worked as long as it was a question of settling inter-American conflicts; but when, as a result of the cold war the conflicting interests of the great powers were involved, it was still necessary to have recourse to U.N.O. - which was in any case paralysed by the right to veto. The inter-American system does however moderate the preponderance of the United States. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 339-361]
- La Ligue des États arabes - Olivier Carré p. 362-381 La Ligue des Etats arabes, par Olivier Carré La Ligue des Etats arabes est une institution ambiguë, prise entre les sensibilités nationales arabes et les exigences des Etats arabes. Cette ambiguïté apparaît dans les textes constitutifs eux-mêmes. Elle a joué dans le conflit, déjà ancien, entre Palestiniens et Jordaniens, les Hachémites tenant, dès le début, à la souveraineté étatique, puis étendant leur territoire contre la volonté de la Ligue, et se révélant aujourd'hui violemment opposés à l'initiative, "non-étatique" et fortement "nationaliste arabe", de la résistance palestinienne. La même dialectique se manifeste dans le conflit yéménite (Sanaa) où le leader de la Ligue et de la Nation arabe à la fois rencontrait l'opposition du roi Fayçal d'Arabie, défenseur de la tradition musulmane et de la souveraineté étatique traditionnelle de ses voisins. Ces deux conflits montrent en outre comment le leadership de Nasser fut quasiment nécessaire pour donner à cette institution, forgée par les Britanniques, une âme arabe. [Revue française de science politique XXI (2) avril 1971, pp. 362-381]The League of Arab States, by Olivier Carré The League of Arab States is an ambiguous institution based on the sensibilities of the Arab nationals and the necessities of the Arab States. This ambiguity can be seen in the constitutive texts themselves. It has played a part in the already ancient conflict between Palestinians and Jordanians. The Hachemites from the very beginning believed in State sovereignty, then enlarged their territory against the will of the League and are today violently opposed to the "non-state", strongly "arab-nationalist" initiatives of the Palestinian resistance. The same dialectics can be seen in the Yemenite conflict (Sanaa) in which the leader of the League and at the same time of the Arab Nation met with opposition from King Fayçal of Arabia, defender of the Muslim tradition and the traditional state sovereignty of his neighbours. These two conflicts show moreover how Nasser's leadership was necessary to give this institution, forged by the British, an Arab soul. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 362-381]
- L'Organisation de l'unité africaine - Mirlande Manigat p. 382-401 L'organisation de l'unité africaine, par Mirlande Manigat Depuis 1963, date de la création de l'Organisation de l'unité africaine, peu de conflits interafricains sont portés devant un des organes des Nations Unies, Conseil de Sécurité ou Assemblée générale. Cette abstention collectivement observée atteste le rôle d'instance de premier recours dévolu à l'O.U.A., certes en conformité avec la Charte de l'O.N.U., mais aussi pour des raisons politiques qui tiennent à la fois aux caractères de l'institution, à la volonté des chefs d'Etat, et enfin à la nature même de certains conflits, les Etats africains tendant à se référer aux principes défendus par l'O.U.A. (intangibilité des frontières) plutôt qu'à ceux prônés par l'O.N.U. (droit des peuples à disposer d'eux-mêmes). Pour résoudre les différends, l'O.U.A. délègue souvent ses pouvoirs à une Commission ad hoc (de conciliation, de médiation, d'enquête ou d'arbitrage), qui n'aboutit pas toujours à des résultats satisfaisants. Comme toute organisation internationale, l'O.U.A. n'a de pouvoirs que ceux qui lui sont accordés par ses membres, et son inefficacité tient moins à des carences structurelles qu'à l'insuffisance des moyens nécessaires pour faire appliquer les décisions qu'elle adopte. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 382-401] THE ORGANISATION FOR AFRICAN UNITY MIRLANDE MANIGAT Since 1963 when the Organisation for African Unity was created few inter- African conflicts have come before the United Nations whether the Security Council or the General Assembly This collective desire of the African States not to bring their problems before the United Nations clearly shows the role of first instance played by the Organisation for African Unity role which is in conformity with the Charter of the United Nations and also the result of political attitudes stemming from the nature of the institution the desires of the heads of State and the nature of certain conflicts The African States tend to refer to the principles defended by the O.A.I/ intangibility of the frontiers rather than those defended by U.N.O the right of peoples to auto- determination In order to resolve conflicts the O.A.U often delegates its powers to an ad-hoc committee of conciliation mediation enquiry or which does not always achieve satisfactory results Like any international organisation the O.A.U has only those powers given it by its members and its incapacity comes less from structural deficiencies than from lack of means of applying the decisions it adopts .Revue fran aise de science politique XXI 2) avril 1971 pp 382-401The Organisation for African Unity, by Mirlande Manigat Since 1963, when the Organisation for African Unity was created, few inter-African conflicts have come before the United Nations, whether the Security Council or the General Assembly. This collective desire of the African States not to bring their problems before the United Nations clearly shows the role of first instance played by the Organisation for African Unity, a role which is in conformity with the Charter of the United Nations and also the result of political attitudes stemming from the nature of the institution, the desires of the heads of State and the nature of certain conflicts. The African States tend to refer to the principles defended by the O.A.U. (intangibility of the frontiers) rather than those defended by U.N.O. (the right of peoples to auto-determination). In order to resolve conflicts the O.A.U. often delegates its powers to an ad-hoc committee (of conciliation, mediation, enquiry or arbitration), which does not always achieve satisfactory results. Like any international organisation, the O.A.U. has only those powers given it by its members, and its incapacity comes less from structural deficiencies than from a lack of means of applying the decisions it adopts. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 382-401]
- La Communauté économique européenne et la crise de 1965 - Françoise De La Serre p. 402-420 La Communauté Economique Européenne et la crise de 1965, par Françoise de la Serre La crise survenue en 1965 au sein de la C.E.E. illustre le type de conflits susceptible de surgir entre les membres de cette organisation régionale. Etudié à partir de la politique menée par la France, ce conflit, provoqué dans un premier temps par le développement du processus d'intégration économique, aboutit, dans un second temps, à la remise en cause du système communautaire lui-même et trouve son dénouement au moins formel, avec les accords du Luxembourg. De cet exemple précis se dégagent quelques hypothèses concernant les limites du rôle joué par l'organisation communautaire dans l'aménagement des relations entre ses membres. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 402-432]The E.E.C. and the 1965 crisis, by Françoise de la Serre The 1965 crisis within the E.E.C. is a good example of the type of conflict liable to arise between the members of this regional organisation. If we look at it from the French standpoint, this conflict, caused first by the development of the process of economic integration, led to the questioning of the community system itself, and was finally solved - at least in appearance - by the Luxembourg agreements. From this concrete example we can draw some hypotheses as to the limits of the role played by the community organisation in the settling of problems between its members. [Revue française de science politique XXI (2), avril 1971, pp. 402-432]
Notes bibliographiques
- Lapierre (Jean-William) - Essai sur le fondement du pouvoir politique. - Georges Lavau p. 421-424
- Jamous (Haroun) - Sociologie de la décision. La réforme des études médicales et des structures hospitalières. Avec la collaboration de J. Commaille et B. Pons-Vignon. Préface de J.D. Reynaud, postface du professeur R. Debré. - Jean-Luc Bodiguel p. 424-425
- Lancelot (Alain) - L'abstentionnisme électoral en France. - Georges Dupeux p. 426-427
- Carrère D'Encausse (Hélène) - Réforme et révolution chez les musulmans de l'Empire russe, Bukhara 1867-1924. Préface de Maxime Rodinson. (Thèse. Doctorat 3e cycle. Histoire Paris. 1963.) - Françoise Aubin p. 428-430
- Annuaire de l'Afrique du Nord. 7. 1968. - Louis-Jean Duclos p. 430-432
- Informations Bibliographiques - p. 433-471
Cours et travaux inédits de science politique
- Liminaire - p. 472
I. Cours polycopiés
- I. Généralités, méthodologie - p. 472-473
- II. Pensée politique - p. 473
- III. Institutions politiques - p. 473
- IV. Relations internationales - p. 473-474
- V. Études nationales et régionales - p. 474
II. Travaux d'étudiants
- I. Méthodologie - p. 474-475
- II. Pensée politique - p. 475-477
- III. Biographies - p. 478
- IV. Institutions françaises - p. 478-480
- V. Études administratives - p. 480-481
- VI. Opinion et information - p. 481-483
- VII. Forces politiques - p. 483-487
- VIII. Études électorales françaises et étrangères - p. 487-488
- X. Études locales - p. 489
- XI. Relations internationales - p. 490-493
- XII. Attitudes et opinions nationales devant les problèmes étrangers - p. 493-494
- XIII. Pays africains - p. 494-495
- XV. Pays étrangers (autres que les pays africains) - p. 496-499
- Index - p. 500-505
- Résumés des articles - p. 506-511