Contenu du sommaire : Impact des réseaux numériques dans les organisations

L'article cherche à montrer comment, à travers l'extraordinaire développement des réseaux numériques, les organisations tentent de tirer bénéfice de la sagesse des foules. Après avoir défini les principaux contours du crowdsourcing, nous en présentons trois cas emblématiques : eYeka, le Jam d'IBM et le Global Service Jam. A la lumière de ces cas, nous exposons les principales forces mais aussi limites du recours au crowdsourcing tant du côté des organisations que de la « foule » de contributeurs.

Cette communication s'inscrit dans le cadre d'une recherche expérimentale, ayant pour objet l'observation du fonctionnement des mécanismes transférentiels, au cours des échanges sur les réseaux socio-numériques (RSN) (la notion de transfert est ici entendue comme le déplacement sur les réseaux de représentation de tout ce qui a valeur de signifiant). Au stade actuel, la recherche établit la position du problème sur le terrain. Elle établit ce qui manque dans la littérature et qui pose un problème nécessitant un regard théorique, dont les hypothèses sont des solutions possibles. Elle contribue d'autre part à l'élaboration d'un protocole de recherche longitudinale. Les premiers résultats montrent que les réseaux socio-numériques ouvrent la voie du recentrage subjectif du sujet de manière opposée selon la nature de la relation de transfert. Le sujet trouve sa place au centre comme maître dans un univers. Toutefois, lorsqu'il se trouve pris au « piège du transfert », de qui est-il le maître ? Le sujet peut se trouver à être le jouet de l'Autre.

Cet article présente une méthode de recherche envisagée comme la construction d'un outil d'aide à la constitution d'équipe. Ces équipes sont constituées en fonction de projets particuliers et leur organisation doit tenir compte des connaissances, des compétences et des capacités que chacun des membres veut bien mettre à la disposition des autres. Nous cherchons donc à savoir comment choisir ses coéquipiers pour s'assurer de la réussite d'un projet lorsqu'on est en relation avec un groupe de personnes, de type réseau social fermé. En d'autres termes, comment optimiser ce réseau fermé pour prendre la bonne prise de décision sur un projet particulier, à partir des choix spécifiques des membres du réseau.

L'aide à la décision vise à apporter un appui aux décideurs par l'introduction de modèles qui permettent une évaluation fine des solutions envisageables face à un problème posé. Nous proposons d'introduire une nouvelle forme d'évaluation concernant le problème pour étendre la validation et l'augmentation des solutions exhibées.

Ce chapitre prend pour point de départ des résultats en marketing appliqué aux réseaux numériques sur une longue période (1990-2010). A partir de cette base empirique, une recherche plus théorique a porté sur le concept de fidélité du client dans le champ des services de réseaux mobiles. La question de l'imaginaire dans une perspective psychanalytique est posée au fil du chapitre et apporte un éclairage original.

Les réseaux sociaux professionnels se constituent aujourd'hui sous deux formes différentes et complémentaires : physique comme traditionnellement, numérique via l'Internet.Lors de l'organisation d'un événement réunissant une quinzaine de réseaux économiques, nous avons constaté que l'engagement des réseaux physiques dans les réseaux numériques ne semblait pas se faire avec la même dynamique que sa réciproque.Après une présentation du contexte de l'événement, l'article explore le processus d'engagement et le concept de réseau. Relevant le rôle central de la machine et du programme dans les réseaux sociaux numériques, l'analyse de la « dimension cachée » apporte des premiers éléments de réponses. Les dimensions temporelles et cognitives sont également sollicitées, pour mettre en évidence le rôle des réseaux sociaux en ligne sur l'identité numérique : une transformation en profondeur se dessine. Les réticences inconscientes initiales apparaissent donc pleinement justifiées. Elles sont les signes d'une vigilance nécessaire pour que les enjeux liés au contrôle et à la liberté de son double numérique puissent être abordés en toute clairvoyance.

Les savoirs locaux constituent un réservoir de potentialités qu'il convient d'incorporer dans l'élaboration d'un projet de développement territorial, dès lors que les réseaux ad hoc ont été formés. Un enjeu supplémentaire, pour les processus d'intelligence territoriale, sera de chercher à rétablir le lien, par la médiation, entre les savoirs locaux et les savoirs experts ou scientifiques afin de redonner dans l'intersubjectivité un sens partagé à la description et l'interprétation de situations complexes. Nous rappellerons les hypothèses de la grammaire territoriale en préambule à la définition d'une politique de développement local de nature endogène apte à répondre au rapport concurrentiel à venir entre les territoires.

La génération Y est devenue un véritable sujet de recherches académiques et de récentes méta-analyses semblent démontrer que si l'existence d'une nouvelle génération est incontestable, ses caractéristiques supposées sont plus douteuses. En effet le caractère parfois peu scientifique des études a amené les chercheurs à remettre en question ce qui semblait être devenu une évidence, à savoir que cette génération est la cause du changement de paradigme que tant l'université que l'entreprise constatent. Or nous ne pouvons que constater que les évolutions actuelles sont dues aux changements technologiques et que les quatre générations qui coexistent s'y adaptent avec un degré d'efficacité dont les différences sont nettement moindres que certaines études ne le laissent croire. En réalité, il semble que les entreprises et universités sont confrontées à une évolution technologique entraînant, comme souvent une résistance au changement, changement qui s'applique à tous. Bref, nous sommes tous la génération Y.

De nombreuses opérations de concertation proposent aux citoyens de participer aux débats publics via des outils numériques. Des sites spécialisés, des blogs, des forums, des plate-formes dédiées sont mises en place pour faciliter l'interaction entre les porteurs de projets et les citoyens et favoriser la diffusion d'information entre les différentes parties prenantes des opérations. Toutefois, ces projets numériques ne prennent pas suffisamment en considération la problématique temporelle liée à l'action démocratique. En effet, les temps de la démocratie traditionnelle et ceux de la « e-démocratie » diffèrent sur de nombreux points, qu'il est impératif de considérer pour mener à bien de tels projets. Cet article propose de poser les jalons d'une réflexion sur ces enjeux temporels des TIC pour les opérations de concertation publique.

Cet article porte sur des représentations exprimées sur les écrans de cinéma quant aux effets des TIC et des réseaux numériques Intranet (système d'information) et Internet sur les conditions de travail et les relations professionnelles. Les outils numériques sont globalement perçus comme malfaisants plutôt que comme des vecteurs de performance ou de dynamisme communicationnel. Le cinéma alimente la peur des réseaux numériques autant qu'il contribue à son apaisement du fait de sa dimension cathartique. Il plaide surtout pour un meilleur accompagnement des salariés dans leurs usages des TIC et réseaux numériques.

Dans une perspective d'innovation ouverte, les Jams développés par IBM depuis 2001 apparaissent comme une modalité de crowdsourcing particulièrement prometteuse pour répondre à des problématiques sociétales ou managériales. C'est en particulier sur le cas du Nekoé Jam que notre recherche s'est appuyée. En effet, en avril 2010, à l'initiative du cluster Nekoé, ce sont plus de 500 personnes qui ont échangé pendant 72 heures sur la thématique de l'innovation par les services. A la lumière de notre observation participante du Jam, cet article expose les principaux atouts de ce crowdsourcing d'activités inventives. Tout d'abord, la formule offre un gain de temps et d'énergie aux parties prenantes à un projet. Ensuite, la pluralité et la diversité des acteurs réunis autour d'un centre d'intérêt constituent une importante source d'innovation. Il s'agit, enfin, via le développement de communautés de favoriser la mobilisation de l'intelligence collective.

En quoi la construction d'un outil de gestion favorise-t-elle l'apparition de nouvelles modalités dans l'existence d'un collectif ? Pour répondre à cette interrogation, les chercheurs interrogent la littérature en gestion sur le rapport entre collectif et outil, puis proposent une lecture selon la théorie de la traduction, liant collectif et outil par un processus appelé entre-définition. Le cas de l'introduction d'un outil inter-organisationnel constitue le cas empirique, illustrant ce processus. La recherche permet de considérer l'outil et le collectif comme les deux faces d'une même pièce, bien que l'entre-définition soit un mécanisme fragile.

Cet article est un essai d'interprétation d'une recherche-action, qui porte sur la création et la mise en place d'un outil d'intelligence collective, en l'occurrence un système d'informations en ligne pour un réseau de coopératives agricoles.S'agissant d'une mise en œuvre d'un projet technologique dans un réseau d'acteurs socioéconomiques, l'approche acteur-réseau a été mobilisée. Elle a montré que, dans ce milieu d'entreprises de type spécifique, il est pertinent d'avoir recours aux opérations de « traduction » pour appréhender les projets de technologie d'information et de communication (TIC) collaboratifs. Elle a également mis en avant la complémentarité de l'outil acteur et de l'acteur humain dans leurs interactions pour aboutir aux finalités espérées.

Nos travaux précédents s'intéressaient aux changements à l'œuvre dans le modèle de communication des entreprises suite à l'arrivée du web 2.0. Elles sont généralement assez démunies tant au niveau de la stratégie que des modalités à mettre en œuvre pour interagir avec les internautes et collaborer avec ceux qui le souhaitent.Dans cette recherche nous essayerons d'amorcer les pistes pour une réflexion stratégique appropriée, conciliant les intérêts économiques aux ressources du web 2.0. Nous nous interrogerons ensuite sur les opportunités de collaboration et de co-construction offertes aux entreprises. Nous souhaitons proposer aux managers de s'inspirer de l'outil conceptuel qu'est la matrice Canevas et développer plus avant la réflexion quant à une meilleure prise en compte stratégique de l'interaction avec les parties prenantes proches. Pour cela nous associerons une typologie (qui détermine des parties prenantes pertinentes dans le cadre d'une collaboration) avec certains blocs de la matrice, afin d'aider le manager à sélectionner les types de collaborations les plus utiles. Ensuite, l'entreprise pourra choisir quels dispositifs sociotechniques du web 2.0 sont les plus appropriés pour la relation entreprise-parties prenantes tout en tenant compte de la théorie des liens faibles et de la performance attendue dans le contexte managérial.

Liée à la conquête des territoires en relation avec la survie du groupe, le phénomène de la hiérarchie est prégnant dans la société civile, ce qui n'est pas le cas sur Internet. L'arasement de la hiérarchie sur ce média semble résulter de deux paramètres : un territoire personnel identique à l'ensemble des internautes et la perception de l'interlocuteur par le biais de l'écran, toujours sur le territoire privé de l'internaute.

Les réseaux sociaux sont de plus en plus nombreux, développent de plus en plus leurs services et le nombre de leurs adhérents : en conséquence, ils s'intègrent de plus à la vie privée et professionnelle des salariés d'entreprises, ce qui induit de nouvelles problématiques, tant au niveau du salarié lui-même qu'au niveau de leurs entreprises. L'objectif de notre travail est de recenser : 1) les divers risques possibles relatifs aux réseaux sociaux, que nous avons classés en quatre grandes familles ; 2) les facteurs qui peuvent aggraver ces risques ; ainsi que 3) les moyens de s'en prémunir, soi-même ou son entreprise. Si malgré tout un risque devait se concrétiser, nous envisageons les recours possibles. Notre travail ouvre quelques pistes de recherche, notamment sur l'approfondissement des possibilités de sensibilisation des salariés et des dirigeants à ces problématiques, et l'exploration des moyens d'améliorer les comportements des utilisateurs.

Les travaux existants laissent apparaître les liens étroits qu'entretiennent les Systèmes d'Information (SI) et le concept d'objet-frontière. Nous abordons ce concept comme une perspective à exploiter pour traiter la problématique de stabilisation des phases post-projets ERP en situation de difficulté. Le cadre théorique que nous mobilisons, en particulier, est celui de la sociologie de l'innovation (Callon & Latour, 1991) au travers de la notion « d'objet-frontière » développée par Star et Griesemer (1989) qui soulignent que les objets-frontières et les infrastructures sont étroitement liés aux activités, aux processus coopératifs et à l'organisation du travail. L'étude de cas de nature interventionniste et qualitative met en évidence les enjeux de l'utilisation de l'objet-frontière virtuel selon trois niveaux d'abstraction : individuel, local, global entreprise. Couplés à chacun de ces niveaux, une analyse dysfonctionnelle des situations de travail et un dispositif de pilotage sont mis en œuvre pour parvenir à stabiliser l'objet virtuel défaillant et le transformer simultanément en une infrastructure « invisible » dans l'organisation. Cette recherche contribue à la perspective « fondée sur la connaissance » des objets-frontières et de leur processus de transformation / stabilisation au fil du temps. Sur un plan managérial, elle fournit aux praticiens une grille d'analyse explicite les aidant à concevoir et à mettre en œuvre des dispositifs adaptés aux situations critiques des phases post-projets avancées ainsi qu'une réflexion sur leur mode de pilotage.

Les réseaux sociaux numériques sont un nouveau moyen pour les recruteurs de trouver des candidats. Mais à chaque réseau sa spécificité et ses fonctionnalités. Comment les recruteurs choisissent le réseau à utiliser lors d'une campagne de recrutement ? Quelles sont les différences entre les services recrutement des entreprises et les cabinets de recrutement ? Cette recherche qualitative, qui étudie à la fois des consultants et des recruteurs en entreprise, permet de comprendre pourquoi tous n'utilisent pas les mêmes outils, et de relever les critères qui conditionnent l'utilisation d'un réseau social numérique dans le cadre de leur métier.

Une entreprise de portage d'experts autonomes met en place une plate-forme collaborative d'échanges pour créer des liens avec et entre ses consultants. La revue de littérature permet de mettre l'accent sur l'importance de l'organisation pour relier compétence individuelle et collective, et sur le type de réseau auquel s'apparente l'outil. L'étude montre que l'appropriation est plus lente que prévu mais que l'outil permet de démultiplier les effets du travail collaboratif en termes de compétences.

Nous nous interrogerons dans cet article sur le lien entre nouvelle technologie et rupture en étudiant un dispositif (Spheric) interactif et immersif en images virtuelles 3D avec visiocasque, qui permet une connexion en réseau des expériences sensorielles. Notre problématique a été de savoir si ce dispositif constituait une véritable rupture (sociale, cognitive, communicationnelle, psychologique…) dans le champ individuel et organisationnel.

La nécessité d'adapter la formation aux nouveaux besoins des personnes et des territoires a été le point de départ du travail partenarial. Partant « de la société de consommation vers la société numérique, en passant par la société apprenante », nous avons cherché à mettre en place une approche innovante, dans un contexte de coopétition, pour faire évoluer et enrichir l'offre de sept organismes concurrents sur le marché de la formation. Notre action a porté sur le management de projet: mise en place et accompagnement d'un projet collectif de création et de déploiement de ressources blended-learning. Nous avons déroulé et accompagné plusieurs phases: appropriation, conception, création et diffusion des ressources digitalisées, aux profits des apprenants via une plate-forme de téléformation Moodle et à travers une méthode d'accompagnement. A partir des retours d'expériences, notre travail ouvre des pistes susceptibles d'améliorer des méthodes de déploiement d'outils au service des bénéficiaires. Dans ce type de projet cherchant à développer des approches de type Formation Ouverte et A Distance, les dimensions techniques nous semblent moins marquantes que les dimensions sociétales. Ces dernières s'inscrivent dans des nouveaux rapports plus horizontaux au travail et au savoir, liés à l'impact du numérique. Les comportements des apprenants sont de plus en plus collaboratifs et communautaires, y compris dans leurs apprentissages. En mixant technologie et pédagogie, on voit émerger un nouveau modèle économique, autour du concept novateur d'usabilité.

Aujourd'hui, le jeu vidéo est de plus en plus populaire, avec la multiplication des terminaux de jeux (tablettes, iPhone, réseaux sociaux), ainsi que les potentiels d'apprentissage, de formation, de découverte, de communication, d'échange, de création de connaissance dont il peut être la source. De plus, grâce à ses capacités d'innovation et de créativité, le jeu vidéo fait aujourd'hui l'objet d'un intérêt grandissant, notamment pour ses perspectives d'évolution du système d'information des organisations. Ce papier a pour but d'explorer le lien qui peut exister entre les joueurs de jeux vidéo de type MMOG, plus précisément de MMORPG, et leur faculté à pouvoir réutiliser des compétences ou de l'expérience de jeu vécu. Grâce à une étude exploratoire menée auprès de joueurs et anciens joueurs, les résultats montrent qu'une réutilisation de l'expérience est possible dans certaines configurations de jeu.

Les communautés de pratiques rassemblent informellement dans les entreprises des personnes souhaitant partager leurs connaissances autour d'une expertise commune. Le développement de ces communautés durant les dernières années s'appuie sur de nouveaux outils numériques, mais également sur le capital social partagé par ses membres. Ce chapitre étudie les phénomènes de renforcement réciproque entre le développement des communautés de pratiques en ligne et le capital social des participants. L'analyse se base essentiellement sur la distinction apportée par Nahapiet et Ghoshal entre les dimensions structurelles, relationnelles et cognitives du capital social. Le cas des communautés développées au sein de la société Schlumberger depuis plus de dix ans est mobilisé pour illustrer ces phénomènes de renforcement réciproque.

Notre recherche est centrée sur les interactions entre réseaux sociaux et organisations sportives au niveau de la promotion des valeurs de l'olympisme : amitié, respect et excellence. Notre objectif est de mieux cerner le positionnement et la perception du mouvement olympique par le biais de ses valeurs. Après l'analyse du contenu et de l'architecture de sites institutionnels comme celui du Comité International Olympique et de certains comités olympiques nationaux, nous combinons deux méthodes : netnographie et entretiens semi-directifs en ligne. Nous avons pour cela créé sur Facebook une page intitulée « Promotion des valeurs olympiques ». La population visée par cette recherche est composée de personnes ayant une expérience dans le domaine sportif : champions du monde, olympique et nationaux, membres des comités nationaux, des professeurs de sport et d'éducation physique, etc. La prochaine étape consistera à prolonger cette étude au niveau des organisations sportives pour toucher des publics aux profils plus diversifiés.

De nos jours on assiste à une vulgarisation des technologies numériques et sociales (particulièrement ici les nouveaux médias et les jeux sérieux), qui ont un potentiel transformateur, mais cet effet structurant est bien trop large (l'échelle est sociétale) et bien trop diffusé (il touche chaque point des organisations, chaque individu… et chaque objet). Les organisations sont en train d'être transformées, on parle désormais d'organisation 2.0 (ou 3.0, ou ce que l'on veut…) où les comportements, les motivations et les attitudes des utilisateurs, l'émergence des réseaux sociaux et des communautés virtuelles, le développement des modes de production et de partage de l'information, sont devenus de nouveaux leviers pour mettre l'intelligence collective et l'efficacité collaborative au service de l'organisation, amenant avec elle une vision renouvelée de la collaboration, la communication et la diffusion d'information. Face à ces évolutions, les modes de travail, de management et d'organisation doivent forcément s'adapter et même parfois être repensés.